En cours au Siège de l'ONU

Première Commission


AG/DSI/3719

À l’occasion de la deuxième journée de son débat thématique sur les armes nucléaires, la Première Commission a entendu aujourd’hui huit des États en possession de telles armes, qui ont, en général, fait assaut de bonnes intentions en matière de désarmement tout en justifiant leur arsenal actuel par le comportement d’autres puissances. 

​AG/DSI/3716

La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a achevé aujourd’hui son débat général après avoir entendu, au fil de huit séances, 149 États, groupes régionaux et observateurs, ainsi que la Haute-Représentante pour les affaires de désarmement, Mme Izumi Nakamitsu, et le Président de l’Assemblée générale, M. Dennis Francis

AG/DSI/3715

Alors que le débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) approche de sa fin, nombre des délégations qui sont intervenues aujourd’hui ont, une fois encore, regretté l’immobilisme des instances de désarmement et demandé aux États dotés de l’arme nucléaire de se conformer à leurs obligations au titre du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP)

​AG/DSI/3713

Au cinquième jour du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale), toujours dominé par les armes nucléaires, deux puissances nucléaires -l’Inde et le Pakistan- ont défendu leur politique de « dissuasion minimale », tandis que la République islamique d’Iran venait réaffirmer son attachement au Plan d’action global commun (PAGC)

AG/DSI/3711

« Ne nous trompons pas, la course aux armements met à mal les systèmes en vigueur », a déclaré ce matin le représentant de l’Autriche lors de la troisième journée du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale), marquée notamment par les interventions de la Fédération de Russie et de l’Ukraine, ainsi que de plusieurs pays européens.

​AG/DSI/3710

La deuxième journée du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a été de nouveau l’occasion pour de nombreux pays d’exprimer leurs inquiétudes face à la détérioration de la situation sécuritaire internationale et ses répercussions sur les processus de désarmement