La Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale, a tenu aujourd’hui sa séance d’organisation sous la présidence de M. Mohan Pieris (Sri Lanka) et a approuvé son programme de travail pour la soixante-dix-septième session de l’Assemblée générale.
En cours au Siège de l'ONU
Première Commission
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a achevé, aujourd’hui, les travaux de la partie principale de sa soixante-seizième session, marquée par l’adoption de 57 projets de résolution et trois projets de décision, ainsi que le rejet d’un projet de résolution. En fin de séance, le Président de la Première Commission, M. Omar Hilale, a noté que les travaux avaient été marqués par des divergences et de multiples foyers de blocages, d’affrontements et de méfiance, mais aussi par des « moments de francs échanges, de coopération et de conciliation ».
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a achevé, aujourd’hui, de se prononcer sur les 61 projets de résolution et de décision dont elle était saisie. Si l’esprit du consensus a partiellement soufflé sur les textes relatifs au désarmement et la sécurité internationale, au désarmement régional et surtout au mécanisme de désarmement, la séance s’est achevée par le rejet d’un projet de résolution présenté par la Fédération de Russie visant à revenir sur le fonctionnement du Mécanisme d’enquête du Secrétaire général sur les armes chimiques et biologiques.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale), a adopté ce matin cinq projets de résolution relatifs à « l’espace extra-atmosphérique (aspect relatifs au désarmement) ». Si deux d’entre eux n’ont pas posé de difficulté, les explications de vote à l’occasion de l’adoption des trois autres ont confirmé les désaccords quant à l’approche de la question et plus encore une profonde méfiance entre, d’un côté, la France, le Royaume-Uni et les États-Unis, de l’autre la Chine et la Fédération de Russie.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé, aujourd’hui, l’adoption de l’ensemble des 61 projets de résolution qui lui ont été présentés. Ceux qu’elle adoptera seront ensuite soumis pour adoption à l’Assemblée générale réunie en plénière, début décembre.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a tenu, ce matin, sa troisième et dernière séance informelle, consacrée au mécanisme de désarmement et au désarmement régional. Plusieurs exposés ont permis de faire le point, à la fois sur la paralysie de la Conférence du désarmement et sur les activités des centres régionaux des Nations Unies pour la paix et le désarmement, qui ont dû se réorganiser en temps de pandémie de COVID-19. Le Directeur de l’Institut des Nations Unies pour la recherche sur le désarmement (UNIDIR) a également dressé un état des lieux de cet organisme indépendant financé par les contributions de 25 États Membres.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a conclu aujourd’hui son débat thématique en examinant un second groupe de questions, portant sur les « autres mesures de désarmement et la sécurité internationale », le « désarmement régional et la sécurité » et « le mécanisme de désarmement ». Les discussions ont été dominées par les progrès réalisés dans le domaine de la sécurité dans le cyberespace, et la dénonciation des blocages du mécanisme de désarmement.
La Première Commission a tenu, ce matin, une réunion virtuelle au cours de laquelle les délégations ont échangé avec des représentants d’organismes onusiens du désarmement. La sécurisation du cyberespace et des technologies de l’information et des communications (TIC), la coopération entre zones exemptes d’armes nucléaires et le Document final de la septième Réunion biennale des États parties au Programme d’action sur les armes légères et de petit calibre (ALPC) ont alimenté les débats, marqués par l’annonce du dépôt prochain d’un projet de résolution conjoint de la Fédération de Russie et des États-Unis, proposant à l’Assemblée générale la création d’un groupe de travail unique sur ces questions de cyberspace et de TIC « dans le contexte de la sécurité internationale »
À l’occasion d’une brève séance, la Première Commission (Désarmement et Sécurité Internationale) a conclu cette après-midi la première partie de son débat thématique, qui portait sur les questions des armes nucléaires; des autres armes de destruction massive; les aspects du désarmement dans l’espace extra-atmosphérique et les armes classiques.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi aujourd’hui son débat thématique en entendant des États défendre leurs doctrines en matière d’armes de destruction massive et de prévention de la militarisation de l’espace. L’Afrique du Sud, au nom de le Coalition pour un nouvel ordre du jour, a donné le ton en qualifiant les doctrines de dissuasion nucléaires de « concepts de sécurité nationale indéfendables et qui augmentent le risque de prolifération ». « L’environnement sécuritaire mondial n’est plus une excuse pour l’inaction, alors que le monde a été le témoin de l’entrée en vigueur historique du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires », a argué le représentant sud-africain.