Première Commission


AG/DSI/3685

« Profitez du week-end pour vous rappeler que nous vivons sur une petite planète qui tourne autour d’une petite étoile et que c’est la seule planète que nous avons », a lancé ce matin, M. Mohan Pieris, Président de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) aux délégations, aux termes de la quatrième journée du débat général, achevée une fois encore par des échanges extrêmement tendus et ponctués aujourd’hui d’allusions et d’accusations réciproques de menaces de recours à l’arme nucléaire.

AG/DSI/3684

La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi, ce matin, son débat général.  Les délégations ont attiré l’attention sur plusieurs situations régionales dans lesquelles sont bafouées les obligations internationales des États en matière de sécurité et de sûreté nucléaires, ainsi que de non-prolifération.  Ont ainsi été citées la péninsule coréenne, l’Ukraine et l’Arménie.  L’efficacité des zones exemptes d’armes nucléaires (ZEAN) a été soulignée, ainsi que la nécessité d’intensifier le contrôle des armes classiques et de conduire jusqu’à leur terme les programmes antimines conduits sous l’égide de l’ONU.

AG/DSI/3683

À l’occasion du deuxième jour de son débat général, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entendu le Président de l’Assemblée générale, M. Csaba Kőrösi, qui l’a exhortée à jouer son rôle de chef de file en matière de désarmement et à régler les problèmes les plus pressants « dans l’intérêt de la survie de l’humanité ». 

AG/DSI/3682

La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé, ce matin, son débat général sur toutes les questions à l’ordre du jour de sa soixante-dix-septième session.  Son Président, M. Mohan Pieris, et la Haute-Représentante aux affaires de désarmement, Mme Izumi Nakamitsu, ont d’emblée mis les délégations face à leurs responsabilités, les invitant à parvenir à des résultats tangibles dans un domaine -la paix et la sécurité- qui est « la raison d’être de l’ONU ». 

AG/DSI/3680

Le Représentant permanent de Sri Lanka auprès des Nations Unies, M. Mohan Pieris, a été élu, le 29 septembre 2022, Président de la Première Commission (Questions de désarmement et de sécurité internationale) pour la soixante-dix-septième session de l’Assemblée générale de l’ONU.

AG/DSI/3681

La Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale, a tenu aujourd’hui sa séance d’organisation sous la présidence de M. Mohan Pieris (Sri Lanka) et a approuvé son programme de travail pour la soixante-dix-septième session de l’Assemblée générale. 

AG/DSI/3679

La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a achevé, aujourd’hui, les travaux de la partie principale de sa soixante-seizième session, marquée par l’adoption de 57 projets de résolution et trois projets de décision, ainsi que le rejet d’un projet de résolution.  En fin de séance, le Président de la Première Commission, M. Omar Hilale, a noté que les travaux avaient été marqués par des divergences et de multiples foyers de blocages, d’affrontements et de méfiance, mais aussi par des « moments de francs échanges, de coopération et de conciliation ».

AG/DSI/3678

La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a achevé, aujourd’hui, de se prononcer sur les 61 projets de résolution et de décision dont elle était saisie.  Si l’esprit du consensus a partiellement soufflé sur les textes relatifs au désarmement et la sécurité internationale, au désarmement régional et surtout au mécanisme de désarmement, la séance s’est achevée par le rejet d’un projet de résolution présenté par la Fédération de Russie visant à revenir sur le fonctionnement du Mécanisme d’enquête du Secrétaire général sur les armes chimiques et biologiques.

AG/DSI/3676

La Première Commission (désarmement et sécurité internationale), a adopté ce matin cinq projets de résolution relatifs à « l’espace extra-atmosphérique (aspect relatifs au désarmement) ».  Si deux d’entre eux n’ont pas posé de difficulté, les explications de vote à l’occasion de l’adoption des trois autres ont confirmé les désaccords quant à l’approche de la question et plus encore une profonde méfiance entre, d’un côté, la France, le Royaume-Uni et les États-Unis, de l’autre la Chine et la Fédération de Russie.