La poursuite de la discussion générale de la Commission de la condition de la femme a été l’occasion, aujourd’hui, pour les délégations de faire le lien entre sécurité et adaptation aux changements climatiques.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil économique et social: Couverture des réunions
Il faut veiller à ce qu’en ces temps de crise, notre « combat de long terme » contre les changements climatiques et notre action pour l’égalité des sexes ne soient pas relégués aux oubliettes.
La Commission de la condition de la femme a ouvert, aujourd’hui, sa soixante-sixième session, qui traitera, ces deux prochaines semaines, de la réalisation de l’égalité des genres dans le contexte des politiques et programmes relatifs aux changements climatiques et à la réduction des risques environnementaux et de catastrophes.
Le Conseil économique et social (ECOSOC) a tenu une brève séance procédurale, ce matin, afin de statuer sur certaines questions, dont celle de la pratique de la « procédure de silence » qu’il a décidé de prolonger au cours de la session de 2022.
La Commission du développement social a terminé, ce matin, les travaux de sa soixantième session en engageant les États Membres à faciliter l’accès équitable et à prix raisonnable aux services de base.
À la veille de sa séance de clôture, la Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, son débat général sur le thème prioritaire de sa soixantième session, permettant aux États Membres et aux ONG d’égrener mesures, programmes et recommandations destinés à combattre les fléaux de la faim et de la pauvreté dans l’optique d’une reprise post-COVID-19 inclusive et résiliente. Une longue liste dans laquelle la lutte contre l’exclusion sociale et le développement de l’agriculture durable ont à nouveau figuré en bonne place.
À l’entame de sa seconde semaine de travaux, la Commission du développement social du Conseil économique et social (ECOSOC) a entendu une quarantaine de délégations dans le cadre de sa discussion générale, dont certaines ont appelé à davantage de mesures d’inclusion pour faire reculer la faim et la pauvreté, y compris en impliquant davantage les jeunes, les femmes et les groupes vulnérables.
La Commission du développement social a clos la première semaine de sa soixantième session cet après-midi en entendant les délégations faire le point sur les mesures prises à l’échelon national pour atténuer la faim et la pauvreté exacerbées par la pandémie de COVID-19 et convenir que l’éradication de la pauvreté ne pourra être atteinte sans s’attaquer aux menaces qui pèsent sur la sécurité alimentaire.
Au quatrième jour de sa session 2022, la Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, sa réflexion sur les moyens de faire reculer la faim et la pauvreté dans le cadre d’une reprise post-COVID-19 inclusive et résiliente en entendant les participants à un forum multipartite centré sur ce thème prioritaire plaider en faveur d’investissements dans l’agriculture durable et la création d’emplois décents, tout particulièrement dans les zones rurales.
À mesure que les pays sortent de la pandémie de COVID-19, l’élaboration de stratégies de relance est l’occasion de commencer à reconstruire en mieux pour surmonter les obstacles à la mise en œuvre du Programme 2030 dans son intégralité, ont convenu en substance aujourd’hui les panélistes qui sont intervenus dans le cadre de deux tables rondes virtuelles organisées par la Commission du développement social. Elles ont permis de passer en revue les politiques nationales et mesures adoptées pour combattre la faim et la pauvreté dans l’optique de mettre intégralement en œuvre le Programme 2030 selon le calendrier prévu*.