Comité spécial des opérations de maintien de la paix


AG/PK/236

Le Comité spécial des opérations de maintien de la paix, qui avait commencé ses travaux le 22 février, a fermé ses portes aujourd’hui avec 20 jours de retard, sans avoir adopté ses recommandations* faute de consensus sur certaines questions, dont celles des capacités africaines de maintien de la paix et du financement du Fonds pour la paix de l’Union africaine. 

AG/PK/234

Au premier jour de la session de 2019 du Comité spécial des opérations de maintien de la paix, la première depuis la mise en place de la nouvelle architecture de la paix des Nations Unies et de ses trois départements phares, les délégations se sont surtout attardées sur la sécurité et la performance des quelque 100 000 hommes et femmes déployés sous la bannière des Nations Unies dans les différentes zones de conflit.

AG/PK/232

Le Comité spécial des opérations de maintien de la paix, qui tient ses travaux jusqu’au 9 mars, a achevé aujourd’hui son débat général de deux jours au cours duquel les délégations ont appelé à l’accélération des réformes au pilier « paix et sécurité » des Nations Unies, compte tenu de la nature changeante des crises, de l’apparition de nouveaux types d’acteurs et de la réduction des ressources disponibles, a précisé le représentant du Mali, dont le pays est l’hôte d’une grande mission de stabilisation avec plus de 14 000 Casques bleus.

AG/PK/231

« Il est temps d’avoir de franches discussions.  Des discussions qui reconnaissent le fait que les opérations de maintien de la paix sont soumises à une pression considérable et qu’elles prennent des risques énormes. »  C’est en ces termes que le Représentant du Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix s’est adressé aujourd’hui au Comité des 34 qui a ouvert sa session 2018, avec de multiples appels au changement dans le pilier « paix et sécurité » de l’ONU.