Cinquième Commission


AG/AB/4466

La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a entendu, ce matin, un message fort du Président de l’Assemblée générale. Bien que la dernière décennie ait été une période difficile pour le multilatéralisme, a plaidé M. Philémon Yang, nous ne pouvons pas nous permettre une paralysie administrative et budgétaire qui plongerait l’Organisation dans la crise.

AG/AB/4464

La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a entamé, ce matin, sa session principale, en deux temps, en s’entendant d’abord sur l’organisation de ses travaux prévus jusqu’au 6 décembre 2024, et en menant ensuite une discussion générale sur la révision du barème des quotes-parts pour la répartition des dépenses de l’Organisation et celles des opérations de maintien de la paix des Nations Unies.

AG/AB/4461

C’est donc avec un espoir déçu que la Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a pris note de la situation financière de l’ONU qu’a décrite aujourd’hui la Secrétaire générale adjointe chargée du Département des stratégies et politiques de gestion et de la conformité.

AG/AB/4460

Après avoir pris connaissance des rapports sur les dispositions spéciales pour prévenir les cas d’exploitation et d’atteintes sexuelles commises par le personnel de l’ONU, la Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, s’est penchée sur les enveloppes de l’exercice allant du 1er juillet 2024 au 30 juin 2025 pour les missions de l’ONU à Abyei, au Soudan du Sud et au Mali.

AG/AB/4459

La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires a appris, ce matin, à l’ouverture de sa deuxième reprise de session, que le Secrétaire général demande une enveloppe exacte de 5 690,4 millions de dollars pour financer, du 1er juin 2024 au 30 juillet 2025, 10 opérations de maintien de la paix.

AG/AB/4458

La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a achevé aujourd’hui la session qu’elle a entamée le 26 février sur une gestion des ressources humaines compliquée, cette année, par l’« état lamentable » de la trésorerie de l’ONU, comme s’alarmait Singapour, au nom de l’ASEAN, dès le début des travaux.