La lutte contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants a dominé, aujourd’hui, les échanges entre la Troisième Commission et les titulaires de mandat consacrés, cette fois encore, à la promotion et à la protection des droits de l’homme.
En cours au Siège de l'ONU
Troisième Commission
La Haute-Commissaire aux droits de l’homme a déclaré, ce matin, devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, qu’une politique fondée sur les droits de l’homme est profondément utile dans le contexte d’une pandémie, exhortant dans la foulée les États Membres à se saisir de l’occasion que représente la pandémie de COVID-19 pour « reconstruire en mieux ».
La Troisième Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles a entamé aujourd’hui son imposant examen de la promotion et de la protection des droits de l’homme, et de l’application des instruments aux situations spécifiques de pays, entendant à cette occasion plusieurs titulaires de mandats qui, l’un après l’autre, ont évoqué les répercussions préjudiciables de la pandémie de COVID-19 sur les personnes et leurs travaux.
L’urgence d’adopter des mesures pour atténuer les répercussions néfastes de la pandémie de COVID-19 sur les droits des enfants figurait au cœur des préoccupations des délégations de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, qui a poursuivi, aujourd’hui, son dialogue interactif virtuel avec les titulaires de mandat.
La Troisième Commission, en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles, a dialogué, aujourd’hui avec sept titulaires de mandats spéciaux au sujet de la promotion des femmes et de la protection des droits de l’enfant, l’occasion pour une majorité d’entre elles de tirer le signal d’alarme quant au recul des avancées réalisées ces dernières années, que la pandémie de COVID-19 tend à accentuer.
La Troisième Commission, chargées des questions sociales, humanitaires et culturelles a entamé, ce matin, un dialogue interactif sur le développement social au cours duquel une experte a attiré l’attention sur les répercussions des carences en matière d’instrument et de données pour mesurer les besoins des personnes âgées.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a achevé, cet après-midi, son débat général, l’occasion pour les délégations de s’inquiéter, une fois encore, de l’état d’un monde secoué par les conséquences de la pandémie de COVID-19 qui a « exacerbé les vulnérabilités », ainsi que de l’impact de la maladie sur le respect des droits.
La voix des jeunes a résonné aujourd’hui dans l’enceinte de l’Assemblée générale abritant les travaux de la Troisième Commission. De nombreux délégués de la jeunesse se sont en effet mobilisés pour faire part de leur empressement à contribuer au dialogue international et plaider pour un multilatéralisme revigoré.
Un échange d’une rare intensité sur la situation des droits de l’homme, notamment au Xinjiang et à Hong Kong, a opposé aujourd’hui deux camps parmi les États Membres au deuxième jour des travaux de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles.
Réunis en personne dans la vaste salle de l’Assemblée générale, mais à bonne distance les uns des autres, les membres de la Troisième Commission en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles ont entamé, aujourd’hui, les travaux de leur soixante-quinzième session en alertant, à l’occasion du débat général, sur les effets de la pandémie de COVID-19 sur les droits de l’homme et les libertés fondamentales, notamment ceux des groupes les plus vulnérables, mais aussi sur le développement des pays les moins avancés.