L’impact sur le respect de la vie privée de l’utilisation de la technologie dans la réponse à la COVID-19 a mobilisé, aujourd’hui, l’attention de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, qui a également scruté l’impact de la crise sanitaire sur les personnes LGBT et le droit à la santé au cours d’une série de dialogues virtuels avec des titulaires de mandat.
En cours au Siège de l'ONU
Troisième Commission
Quelles mesures les États devraient-ils prendre pour lutter efficacement contre la traite des personnes? Sur quoi la communauté internationale devrait-elle concentrer ses efforts pour éliminer le travail des enfants d’ici à 2025? Et comment atténuer l’impact de la COVID-19 sur les victimes des formes contemporaines d’esclavage?
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a poursuivi, aujourd’hui, son dialogue virtuel avec les titulaires de mandat, l’occasion pour les délégations d’examiner des questions aussi variées que la perspective de genre dans les processus de justice transitionnelle, la diligence raisonnable des entreprises opérant dans les zones de conflit ou encore l’approche juridique de la gestion des charniers.
La Troisième Commission a poursuivi, aujourd’hui, son examen de la situation des droits de l’homme dans plusieurs pays, suscitant une fois de plus l’opposition des délégations opposées par principe aux résolutions spécifiques en la matière, à commencer par celles concernées par les rapports.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a commencé aujourd’hui à entendre les exposés d’experts chargés de la situation des droits de l’homme dans des pays précis, en l’occurrence du Myanmar et de la République populaire démocratique de Corée (RPDC). Comme par le passé, cet exercice a été critiqué par les États concernés et le Mouvement des pays non alignés, opposés par principe à cette « exploitation des droits de l’homme à des fins politiques ».
Les effets de la pandémie de COVID-19 n’épargnent pas les personnes handicapées, déjà confrontées à une exclusion structurelle, ni même celles atteintes d’albinisme, autre groupe marginalisé, ont averti, aujourd’hui, plusieurs titulaires de mandat lors de dialogues interactifs avec la Troisième Commission, qui ont également permis d’aborder la question des effets délétères qu’ont les changements climatiques sur la jouissance des droits culturels.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a examiné aujourd’hui tout un éventail de questions allant de l’impact de la COVID-19 sur l’extrême pauvreté et le logement, au problème de la privatisation de l’eau en passant par l’hygiène menstruelle dans les écoles et l’impact des changements climatiques à évolution lente sur les déplacements de population.
Si la pandémie actuelle frappe les populations vulnérables de manière disproportionnée, les migrants figurent au premier rang de ses victimes pour des raisons liées à leur statut: tel est le constat qu’ont partagé, aujourd’hui, plusieurs titulaires de mandat venus dialoguer virtuellement avec les membres de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, sur le sort des enfants et des travailleurs migrants en cette période de crise mondiale.
La situation des défenseurs des droits de l’homme dans le contexte de la pandémie de COVID-19 a mobilisé, aujourd’hui, l’attention de la Troisième Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, lors d’un dialogue virtuel avec les titulaires de mandats également marquée par des appels à se mobiliser contre les disparitions forcées et à promouvoir un ordre international démocratique et équitable.
Bien que son concept reste controversé, le droit au développement a mobilisé aujourd’hui l’attention de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles.