La Commission du développement social a clos, cet après-midi, sa soixantième-troisième session dont le thème était « Renforcer la solidarité, l’inclusion sociale et la cohésion sociale pour accélérer la réalisation des engagements pris dans la Déclaration de Copenhague sur le développement social et le Programme d’action du Sommet mondial pour le développement social ainsi que la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 ».
En cours au Siège de l'ONU
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La quatrième journée de la soixante-troisième session de la Commission du développement social a été consacrée, en partie, à préparer le deuxième Sommet mondial pour le développement social, qui se tiendra en novembre à Doha (Qatar). Les participants ont ainsi dialogué, le matin, avec de hautes et hauts responsables du système des Nations Unies pour préparer cette rencontre, avant de tenir l’après-midi un dialogue multipartite sur la solidarité et la cohésion sociale à travers les coopératives et l’économie sociale et solidaire. Le rôle et la participation de la société civile -avant, pendant et après le Sommet- ont animé les discussions.
Les participants à la soixante-troisième session de la Commission du développement social ont examiné, ce matin, « les questions nouvelles: résilience sociale et de développement social » au cours de deux tables rondes. La première a porté sur les « politiques visant à renforcer la résilience sociale dans un contexte de crises plus fréquentes et plus complexes », la deuxième sur des « systèmes de protection sociale universels fondés sur les droits qui s’adaptent à l’évolution des risques et soutiennent la résilience sociale ».
À l’occasion d’un forum ministériel, la Commission du développement social a approfondi, ce matin, sa réflexion sur les moyens de renforcer la solidarité et la cohésion sociale aux niveaux national et local. Les échanges ont notamment porté sur les actions et politiques nécessaires pour retrouver l’élan vers l’éradication de la pauvreté, l’inclusion sociale et le travail décent, mais aussi sur les bonnes pratiques en matière de transparence afin d’accroître la confiance entre les populations et les gouvernements.
Au coup d’envoi ce matin de la soixante-troisième session de la Commission du développement social, son Président, M. Krzysztof Maria Szczerski (Pologne), a donné aux États Membres quelques lignes directrices afin de préserver les « progrès sociaux remarquables » réalisés depuis la Déclaration de Copenhague de 1995.
La Commission du développement social a mis un point final, ce matin, à sa soixantième-deuxième session, entamée le 5 février, en entérinant par consensus quatre textes
Évoquant à plusieurs reprises le thème prioritaire de la présente session de la Commission du développement social, à savoir la promotion du développement social et de la justice sociale
À l’occasion de deux dialogues sur son thème prioritaire, l’un avec de hauts responsables du système des Nations Unies, l’autre avec différentes parties prenantes, la Commission du développement social s’est intéressée, aujourd’hui, aux moyens susceptibles de mieux intégrer les considérations sociales dans des cadres de développement plus larges et aux bonnes pratiques et solutions innovantes permettant de promouvoir la justice sociale.
Au troisième jour des travaux de sa soixante-deuxième session, la Commission du développement social s’est réunie pour la tenue de deux événements interactifs
Les ministres réunis ce matin à l’occasion du forum ministériel de la Commission du développement social, consacré à l’intégration des considérations sociales dans les cadres de développement, ont vu dans les programmes de protection sociale, l’investissement social et la solidarité mondiale les moyens d’endiguer la pauvreté aux niveaux national et international.