La Commission du développement social s’est penchée, aujourd’hui, sur le quatrième cycle d’examen et d’évaluation du Plan d’action international de Madrid de 2002 sur le vieillissement, avant de tenir, dans l’après-midi, une table ronde visant à identifier les moyens par lesquels remédier aux conséquences sociales des crises multiformes afin d’accélérer le relèvement après la pandémie.
En cours au Siège de l'ONU
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Au deuxième jour de sa soixante et unième session, la Commission du développement social a entendu, ce matin, un forum ministériel tirer les leçons de la pandémie de COVID-19 et suggérer des pistes pour parvenir au plein emploi productif et au travail décent, tout en accélérant la mise en œuvre intégrale du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
La Commission du développement social a entamé aujourd’hui sa soixante et unième session qui, jusqu’au 15 février, examinera le rôle du plein emploi productif et du travail décent pour surmonter les inégalités pour accélérer le relèvement après la pandémie de COVID-19 et la mise en œuvre intégrale du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
La Commission du développement social a terminé, ce matin, les travaux de sa soixantième session en engageant les États Membres à faciliter l’accès équitable et à prix raisonnable aux services de base.
À la veille de sa séance de clôture, la Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, son débat général sur le thème prioritaire de sa soixantième session, permettant aux États Membres et aux ONG d’égrener mesures, programmes et recommandations destinés à combattre les fléaux de la faim et de la pauvreté dans l’optique d’une reprise post-COVID-19 inclusive et résiliente. Une longue liste dans laquelle la lutte contre l’exclusion sociale et le développement de l’agriculture durable ont à nouveau figuré en bonne place.
À l’entame de sa seconde semaine de travaux, la Commission du développement social du Conseil économique et social (ECOSOC) a entendu une quarantaine de délégations dans le cadre de sa discussion générale, dont certaines ont appelé à davantage de mesures d’inclusion pour faire reculer la faim et la pauvreté, y compris en impliquant davantage les jeunes, les femmes et les groupes vulnérables.
La Commission du développement social a clos la première semaine de sa soixantième session cet après-midi en entendant les délégations faire le point sur les mesures prises à l’échelon national pour atténuer la faim et la pauvreté exacerbées par la pandémie de COVID-19 et convenir que l’éradication de la pauvreté ne pourra être atteinte sans s’attaquer aux menaces qui pèsent sur la sécurité alimentaire.
Au quatrième jour de sa session 2022, la Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, sa réflexion sur les moyens de faire reculer la faim et la pauvreté dans le cadre d’une reprise post-COVID-19 inclusive et résiliente en entendant les participants à un forum multipartite centré sur ce thème prioritaire plaider en faveur d’investissements dans l’agriculture durable et la création d’emplois décents, tout particulièrement dans les zones rurales.
À mesure que les pays sortent de la pandémie de COVID-19, l’élaboration de stratégies de relance est l’occasion de commencer à reconstruire en mieux pour surmonter les obstacles à la mise en œuvre du Programme 2030 dans son intégralité, ont convenu en substance aujourd’hui les panélistes qui sont intervenus dans le cadre de deux tables rondes virtuelles organisées par la Commission du développement social. Elles ont permis de passer en revue les politiques nationales et mesures adoptées pour combattre la faim et la pauvreté dans l’optique de mettre intégralement en œuvre le Programme 2030 selon le calendrier prévu*.
La poursuite des travaux de la Commission du développement social a été l’occasion, aujourd’hui, pour nombre d’États Membres, de vanter les mérites des systèmes de protection sociale pour amortir les effets de la pandémie et préparer un relèvement post-COVID-19 inclusif et résilient.