« Assurer une vie saine et promouvoir le bien-être de tous à tout âge », tel fut le thème de la cinquante-huitième session de la Commission de la population et du développement qui s’est achevée aujourd’hui. Cet organe subsidiaire du Conseil économique et social (ECOSOC) a tenu toute la semaine des débats animés entre experts et délégations, mais n’a pas pu parvenir à un consensus sur le projet de résolution en rapport avec le thème des travaux, ledit texte ayant été, par conséquent, retiré par la présidence.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
L’Assemblée générale, réunie en plénière ce matin, a décidé des nouvelles modalités d’organisation de la troisième Conférence des Nations Unies sur les pays en développement sans littoral qui se tiendra désormais à Avaza, au Turkménistan, du 5 au 8 août 2025. Elle a également décidé de l’accréditation et de la participation d’organisations intergouvernementales aux travaux de la Conférence sur l’océan qui sera accueillie à Nice, en France, du 9 au 13 juin 2025.
Saisi par l’Algérie et la Somalie, le Conseil de sécurité s’est réuni ce matin pour se pencher sur la multiplication des frappes israéliennes en Syrie, alors que ce pays est engagé dans une transition politique délicate depuis la chute du Gouvernement de Bachar Al-Assad le 8 décembre 2024.
À la veille de la clôture de sa cinquante-huitième session, la Commission de la population et du développement a tenu, ce matin, une table ronde entre experts nationaux sur le programme de travail du Secrétariat de l’ONU dans le domaine de la population, suivie d’un débat interactif. Les échanges ont essentiellement porté sur l’utilisation par les gouvernements des données démographiques et sanitaires de la Division de la population du Département des affaires économiques et sociales (DESA) aux fins d’élaborer des programmes et des politiques, un mécanisme aujourd’hui menacé par la suppression des financements du Gouvernement des États-Unis.
Au troisième jour de sa session annuelle, la Commission de la population et du développement a tenu, cet après-midi, une table ronde sur le thème « Permettre à tous de vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être de tous à tout âge », précédée d’un exposé thématique sur la promotion de l’équité en santé et le financement des soins et des services de santé.
Le Conseil de sécurité s’est réuni, cet après-midi, pour faire le point sur la situation au Kosovo, comme il le fait deux fois par an. La Représentante spéciale, Mme Caroline Ziadeh, a dit qu’après les élections parlementaires réussies du 9 février, le Kosovo attend la formation d’un nouveau gouvernement qui devra remédier au déficit de confiance intercommunautaire et progresser dans le processus de normalisation des relations. La Serbie et le Kosovo se sont renvoyé mutuellement la responsabilité de l’impasse actuelle alors que la majorité des membres du Conseil ont soutenu le dialogue Belgrade-Pristina sous l’égide de l’Union européenne (UE).
Réunis ce matin à la demande de l’Ukraine, quatre jours après la frappe menée par la Fédération de Russie contre la ville densément peuplée de Kryvyi Rih, la plus meurtrière touchant des enfants depuis le début du conflit en février 2022, les membres du Conseil de sécurité ont quasi-unanimement condamné cette nouvelle attaque russe contre des civils, certains, dont les États-Unis, avertissant que de tels agissements mettent en péril les pourparlers de paix engagés avec les deux parties.
« Assurer une vie saine et promouvoir le bien-être de tous à tout âge »: tel est le thème de la cinquante-huitième session de la Commission de la population et du développement, qui a entamé ses travaux aujourd’hui au Siège de l’ONU à New York. Après les interventions d’ouverture et le lancement du débat général, un débat entre experts, suivi d’un échange interactif, a permis d’entrer dans le vif du sujet, l’accent étant mis sur l’application, dans le domaine sanitaire, du Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD).
Le Conseil de sécurité a tenu, ce matin, sa réunion annuelle avec les chefs des composantes militaires des opérations de maintien de la paix des Nations Unies, avec un intérêt marqué pour la connaissance du terrain et le renseignement via les technologies, afin de pouvoir agir efficacement dans le cadre de la surveillance du cessez-le-feu.
« À aucun moment depuis la guerre froide, le risque d’utilisation d’une arme nucléaire n’a été plus élevé qu’aujourd’hui et les mécanismes conçus pour en empêcher l’usage aussi fragiles. » C’est sur une mise en garde de la Haute-Représentante pour les affaires de désarmement que se sont ouverts, ce matin, les travaux de la session 2025 de la Commission du désarmement, un organe que Mme Izumi Nakamitsu a décrit comme une « avenue unique », dont les recommandations peuvent montrer la voie à suivre, alors que se multiplient les défis à la sécurité internationale.