Il est urgent que l’ONU s’emploie à tirer pleinement parti des possibilités de collaboration avec le secteur privé et les autres partenaires pour accompagner le développement durable. C’est l’appel qu’a lancé la Directrice exécutive du Pacte mondial des Nations Unies, Mme Lise Kingo, ce matin, devant les délégations de la Deuxième Commission (économique et financière) qui examinaient la question des partenariats à forger entre le système de l’ONU et le secteur privé.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Poursuivant leur débat sur la question de l’information, les délégations de la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation) ont appelé les Nations Unies, par le biais de son Département de l’information, à jouer un rôle central pour contrer la diffusion de fausses nouvelles et les discours de haine répandus via les nouveaux médias.
La Première Commission a poursuivi, ce matin, son débat thématique en soulignant le lien entre la lutte contre la circulation illicite des armes légères et de petit calibre (ALPC) et la réalisation des objectifs de développement durable.
Entamant, cette après-midi, ses travaux consacrés à l’information, la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation) a entendu la nouvelle Secrétaire générale adjointe à la communication, Mme Alison Smale, insister sur la nécessité, pour les Nations Unies, de s’adresser aux jeunes, en privilégiant notamment des moyens de communication « de plus en plus modernes ».
La Troisième Commission a poursuivi, aujourd’hui, l’examen de son point consacré à la promotion et à la protection des droits de l’homme en dialoguant avec la Rapporteuse spéciale sur la promotion et la protection des droits de l’homme et des libertés fondamentales dans la lutte antiterroriste, Mme Fionnuala Ní Aoláin; le Rapporteur spécial sur les effets négatifs des mesures coercitives unilatérales sur l’exercice des droits de l’homme, M. Idriss Jazairy; et le Rapporteur spécial sur l’indépendance des juges et des avocats, M. Diego García-Sayán.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé, aujourd’hui, sa discussion sur les armes classiques, un débat au cours duquel les délégations se sont interrogées sur les priorités à accorder à la lutte contre la prolifération des armes classiques.
Le Programme des Nations Unies pour les établissements humains (ONU-Habitat) -l’agence onusienne chargée de promouvoir socialement et écologiquement les villes durables- a fait récemment l’objet d’un diagnostic qui a conduit les délégations de la Deuxième Commission (économique et financière), ce matin, à prendre position sur les possibilités d’amélioration de cet organe sur les plans structurel et opérationnel. Les États Membres examinaient le sujet des établissements humains, près d’un an après l’adoption du Nouveau Programme pour les villes, qui est en cours d’application pour contribuer au développement durable.
Les Présidents du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) et du Mécanisme international appelé à exercer les fonctions résiduelles des tribunaux pénaux ont fait aujourd’hui devant l’Assemblée générale le bilan annuel de leurs travaux, alors que des délégations ont dit craindre la résurgence du révisionnisme dans les Balkans.
La Troisième Commission a poursuivi, aujourd’hui, l’examen de son point consacré à la promotion et à la protection des droits de l’homme en dialoguant, parfois de manière houleuse, avec plusieurs titulaires de procédures spéciales et experts indépendants sur des questions liées à la participation et à l’autonomisation des individus et des peuples, à commencer par le droit au développement.
Les pays en situation particulière, à savoir les pays les moins avancés (PMA), les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement (PEID), ont revendiqué, ce matin à la Deuxième Commission (économique et financière), que leurs partenaires de développement et les institutions financières internationales tiennent davantage compte de leurs vulnérabilités comme l’éloignement, la dispersion de leurs populations, une connectivité limitée ainsi que des infrastructures et des transports déficients. Ils attendent un soutien plus conséquent et régulier pour accompagner leurs processus nationaux de développement.