La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi aujourd’hui son débat thématique en entendant des États défendre leurs doctrines en matière d’armes de destruction massive et de prévention de la militarisation de l’espace. L’Afrique du Sud, au nom de le Coalition pour un nouvel ordre du jour, a donné le ton en qualifiant les doctrines de dissuasion nucléaires de « concepts de sécurité nationale indéfendables et qui augmentent le risque de prolifération ». « L’environnement sécuritaire mondial n’est plus une excuse pour l’inaction, alors que le monde a été le témoin de l’entrée en vigueur historique du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires », a argué le représentant sud-africain.