L’Assemblée générale a nommé*, ce matin, M. Thomas David Smith, du Royaume-Uni, en qualité de membre du Comité des contributions, sur recommandation de sa Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires.
Le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien a, ce matin, fait le point de la situation dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et sur les faits nouveaux intervenus dans le processus politique, grâce à un exposé de M. Saëb Erakat, membre du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) et principal négociateur palestinien.
La troisième Conférence internationale sur les petits États insulaires en développement se tiendra du 1er au 4 septembre 2014, a décidé aujourd’hui l’Assemblée générale. Elle a aussi affirmé « le droit inaliénable de la population de la Polynésie française à l’autodétermination et à l’indépendance » et reconnu que « la Polynésie française reste un territoire non autonome au sens de la Charte », ce qui la replace à l’ordre du jour du Comité spécial de la décolonisation (Comité des 24).
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, qui examinait, ce matin, la situation financière de l’ONU*, a entendu l’Union européenne réclamer un partage plus équitable des responsabilités financières vis-à-vis de l’ONU et plusieurs autres délégations s’inquiéter des arriérés de paiement dus aux contributeurs de troupes.
L’eau manque et manquera plus encore dans les décennies à venir, et les efforts entrepris pour préserver cette ressource fragile sont insuffisants. Ce constat alarmant a constitué aujourd’hui la toile de fond d’un débat thématique de l’Assemblée générale destiné à identifier les moyens à mettre en œuvre dans les domaines scientifique, technologique et économique liés à l’interaction énergie-eau avant que ne soit atteint le point de non-retour.
L’Assemblée générale a adopté, aujourd’hui, une résolution sur la transition politique en Syrie dans laquelle elle saluela création, le 11 novembre 2012 à Doha, de la Coalition nationale des forces de l’opposition et de la révolution syriennes, « interlocuteur valable et représentatif nécessaire à toute transition politique ».
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a vu, ce matin, chez certaines délégations des marques d’inquiétude face à « l’orientation en hausse » du compte d’appui aux opérations de maintien de la paix. Elle a aussi examiné, entre autres, le financement des missions en Côte d’Ivoire, en République démocratique du Congo (RDC) et au Darfour.
Les États évaluent depuis hier la mise en œuvre du Plan d’action mondial des Nations Unies pour la lutte contre la traite des personnes, adopté en 2010, et font part de leurs bonnes pratiques au cours d’une Réunion de haut niveau de l’Assemblée générale. La lutte contre la traite ne pourra réussir sans actions nationales et sans une coopération solide car les défis dépassent les frontières, ont souligné de nombreux participants.
Malgré une mobilisation sans précédent de la communauté internationale, la traite des personnes reste un fléau en constante évolution dont l’ampleur ne cesse de croître. Tel est le constat dressé par les ministres et les délégués venus participer à la Réunion de haut niveau que l’Assemblée générale a organisée aujourd’hui pour évaluer la mise en œuvre du Plan d’action mondial des Nations Unies pour la lutte contre la traite des personnes, adopté en 2010.
L’examen, ce matin, par la Cinquième Commission, du projet de budget 2013-2014 pour le financement de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH), a conduit certaines délégations à dénoncer des coupes budgétaires « arbitraires » qui risqueraient, ont-elles affirmé, de mettre en péril la stratégie de sortie de la Mission et la sécurité de son personnel.