Les répercussions économiques et sociales de la pandémie exacerbent les inégalités au sein des pays et entre les pays, ont prévenu les délégations, lors du troisième jour de débat général de la Deuxième Commission (questions économiques et financières). Pauvreté, inégalités : la COVID-19 a révélé au grand jour la vulnérabilité des pays en développement, s’attaquant au groupe des pays les moins avancés (PMA) de manière particulièrement brutale.
En cours au Siège de l'ONU
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La voix des jeunes a résonné aujourd’hui dans l’enceinte de l’Assemblée générale abritant les travaux de la Troisième Commission. De nombreux délégués de la jeunesse se sont en effet mobilisés pour faire part de leur empressement à contribuer au dialogue international et plaider pour un multilatéralisme revigoré.
Près d’une trentaine de pays ont présenté cet après-midi à la Sixième Commission, chargée des questions juridiques, les mesures qu’ils ont prises aux niveaux national et international en matière de prévention et de répression pour lutter contre le terrorisme international.
La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a recommandé aujourd’hui à l’Assemblée générale d’autoriser les Comores, Sao Tomé-et-Principe et la Somalie à participer à ses votes jusqu’à la fin de cette session. En adoptant à l’unanimité son projet de résolution*, la Commission demande à l’Assemblée de convenir que le non-paiement par ces trois pays du montant minimum requis pour éviter l’application de l’Article 19 de la Charte –droit de vote- est dû à des circonstances indépendantes de leur volonté.
La Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale, a tenu aujourd’hui sa toute première séance sous la présidence de M. Augustin Santos Maraver (Espagne) et a approuvé son programme de travail pour la soixante-quinzième session de l’Assemblée générale, lequel a subi quelques modifications en raison des contraintes sanitaires liées à la pandémie de COVID-19.
Un échange d’une rare intensité sur la situation des droits de l’homme, notamment au Xinjiang et à Hong Kong, a opposé aujourd’hui deux camps parmi les États Membres au deuxième jour des travaux de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles.
Les membres de la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, se sont penchés aujourd’hui sans complaisance sur la manière de surmonter les graves difficultés économiques provoquées par la pandémie pour réaliser les objectifs de développement durable à l’horizon 2030. La thématique de cette soixante-quinzième session, « Reconstruire en mieux après la COVID-19: pour une économie mondiale plus équitable, des sociétés inclusives et un relèvement durable », s’y prête assurément.
À l’instar des autres grandes commissions de l’Assemblée générale de l’ONU, la Sixième Commission chargée des questions juridiques a entamé, ce matin, ses travaux sous la contrainte inédite de la pandémie COVID-19, dans le respect d’un strict protocole sanitaire pour les délégués sur place et avec une réduction significative du temps de réunion lors de cette session, soit trois à quatre réunions « en présentiel » par semaine.
Réunis en personne dans la vaste salle de l’Assemblée générale, mais à bonne distance les uns des autres, les membres de la Troisième Commission en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles ont entamé, aujourd’hui, les travaux de leur soixante-quinzième session en alertant, à l’occasion du débat général, sur les effets de la pandémie de COVID-19 sur les droits de l’homme et les libertés fondamentales, notamment ceux des groupes les plus vulnérables, mais aussi sur le développement des pays les moins avancés.
Une pandémie entraînant un « maëlstrom » de crises, « mettant à nu » les vulnérabilités. Cette formule a été prononcée en ce premier jour de débat général de la Deuxième Commission de l’Assemblée générale, chargée des questions économiques et financières, par le représentant de la Communauté des Caraïbes (CARICOM). Elle ne résume que trop bien les difficultés économiques et sociales auxquelles les États Membres se disent aujourd’hui confrontés.