En cours au Siège de l'ONU

Première Commission


AG/DSI/3579-CPSD/640

La Première (désarmement et de la sécurité internationale) et la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation), ont tenu, aujourd’hui, une séance commune sur la coopération internationale touchant les utilisations pacifiques de l’espace, l’occasion pour les délégations de débattre des meilleurs moyens de prévenir une course aux armements dans l’espace extra-atmosphérique.

AG/DSI/3578

La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé, cet après-midi, son débat thématique sur les armes nucléaires, l’occasion pour les délégations de participer à un échange de vues avec la Haut-Représentante pour les affaires de désarmement au cours duquel Mme Izumi Nakamitsu a notamment mis l’accent sur la menace que peut représenter l’innovation technologique.

AG/DSI/3575

Les agissements de la République populaire démocratique de Corée (RPDC) ont été, ce matin, au cœur du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale).  Deux des États dotés du plus grand nombre d’armes nucléaires ont défendu leur doctrine en matière de sécurité collective, tandis que la RPDC a lancé des appels pour que les puissances nucléaires éliminent les notions de frappes préventives et de déploiement préventif d’armes nucléaires hors de leurs frontières. 

 

AG/DSI/3573

Au troisième jour de son débat général, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entendu, ce matin, la Fédération de Russie et la France réaffirmer le sens de leur doctrine de sécurité et expliquer les raisons pour lesquelles elles n’avaient pas participé aux négociations ayant abouti, le 7 juillet 2017, à l’adoption du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires, tout en soulignant leur respect des engagements pris en matière de réduction de leurs arsenaux.

AG/DSI/3572

Sous fond des préoccupations suscitées par le programme nucléaire de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), le deuxième jour du débat général de la Première Commission a été l’occasion, ce matin, pour de nombreuses délégations d’expliquer les raisons de leur adhésion, ou non, au nouveau Traité sur l’interdiction des armes nucléaires qui a été adopté le 7 juillet de cette année.