La Première (désarmement et de la sécurité internationale) et la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation), ont tenu, aujourd’hui, une séance commune sur la coopération internationale touchant les utilisations pacifiques de l’espace, l’occasion pour les délégations de débattre des meilleurs moyens de prévenir une course aux armements dans l’espace extra-atmosphérique.
En cours au Siège de l'ONU
Première Commission
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé, cet après-midi, son débat thématique sur les armes nucléaires, l’occasion pour les délégations de participer à un échange de vues avec la Haut-Représentante pour les affaires de désarmement au cours duquel Mme Izumi Nakamitsu a notamment mis l’accent sur la menace que peut représenter l’innovation technologique.
Les délégations de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) ont entendu, aujourd’hui, le représentant de la République islamique d’Iran assurer la communauté internationale de la bonne foi de son pays dans le domaine nucléaire.
Alors que le débat général de la Première Commission touche à son terme, de nombreux pays ont fait état, aujourd´hui, des dissensions internationales qui entravent les progrès des instances onusiennes en matière de désarmement.
Les agissements de la République populaire démocratique de Corée (RPDC) ont été, ce matin, au cœur du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale). Deux des États dotés du plus grand nombre d’armes nucléaires ont défendu leur doctrine en matière de sécurité collective, tandis que la RPDC a lancé des appels pour que les puissances nucléaires éliminent les notions de frappes préventives et de déploiement préventif d’armes nucléaires hors de leurs frontières.
La quatrième journée de débat général de la Première Commission a été l’occasion pour de nombreuses délégations, notamment d’Asie et d’Afrique, de mettre l’emphase sur un problème qui les concerne au premier chef: les armes classiques.
Au troisième jour de son débat général, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entendu, ce matin, la Fédération de Russie et la France réaffirmer le sens de leur doctrine de sécurité et expliquer les raisons pour lesquelles elles n’avaient pas participé aux négociations ayant abouti, le 7 juillet 2017, à l’adoption du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires, tout en soulignant leur respect des engagements pris en matière de réduction de leurs arsenaux.
Sous fond des préoccupations suscitées par le programme nucléaire de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), le deuxième jour du débat général de la Première Commission a été l’occasion, ce matin, pour de nombreuses délégations d’expliquer les raisons de leur adhésion, ou non, au nouveau Traité sur l’interdiction des armes nucléaires qui a été adopté le 7 juillet de cette année.
La Haut-Représentante pour les affaires de désarmement, Mme Izumi Nakamitsu, a donné, ce matin, le coup d’envoi du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) en exhortant les délégations à contribuer à la prévention des conflits, « une mission à l’origine même de la création de l’ONU ».
Le Représentant permanent de l’Iraq auprès des Nations Unies, M. Mohammed Hussein Bahr Aluloom, a été élu, le 28 septembre 2017, par acclamation, Président de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) pour la soixante-douzième session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies.