La Première Commission, chargé des questions de désarmement et de sécurité internationale, a entamé ce vendredi son débat thématique appelé à durer jusqu’au 30 octobre. Comme de coutume, c’est par le chapitre consacré aux armes nucléaires que ce débat a commencé, avec notamment des déclarations des groupes régionaux mais aussi d’Israël et des États-Unis.
En cours au Siège de l'ONU
Désarmement
Dans le cadre de son débat annuel sur ses méthodes de travail, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a décidé, aujourd’hui, que l’identité de l’État Membre ou des États Membres qui demandent un vote sur des paragraphes précis ou sur des projets de résolution dans leur ensemble devra être communiquée à la Première Commission par sa présidence dès lors qu’un État en fait la demande.
Au septième jour de son débat général, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a de nouveau entendu de nombreuses et vives accusations contre Israël et ses opérations militaires à Gaza et au Liban, d’autant plus qu’elle entendait notamment l’État de Palestine. Pour sa part, la République populaire démocratique de Corée (RPDC) est venue justifier son programme nucléaire par l’agressivité des États-Unis à son égard tandis que l’Azerbaïdjan dénonçait les manquements de l’Arménie au régime international de désarmement. Plusieurs pays d’Afrique et d’Amérique latine ont une fois encore souligné le problème du trafic des armes légères et de petit calibre (ALPC), tandis que d’autres rappelaient les ravages causés par les mines antipersonnel.
Au sixième jour de son débat général, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entendu notamment, cet après-midi, les points de vue très divergents de la Fédération de Russie et de l’Ukraine en matière de sécurité internationale sur le fond du conflit qui les oppose depuis plus de deux ans. La France, l’autre État doté officiellement d’armes nucléaires à avoir pris aujourd’hui la parole, a souligné l’importance de sortir de la crise de la non-prolifération nucléaire actuelle par la seule voie diplomatique, et fait des propositions dans le domaine spatial. L’Inde, « État doté responsable », et l’Arménie ont justifié leur politique de défense dans un contexte régional marqué, entre autres, par une circulation excessive et l’emploi illicite d’armes classiques.
La Première Commission, chargée des questions de désarmement et de la sécurité internationale, a repris, ce lundi 14 octobre, son débat général dominé par les questions nucléaires. S’exprimant lors de la même séance, le Japon et Kiribati ont partagé une perspective particulière sur le sort des victimes des bombardements comme des essais nucléaires. Plusieurs délégations ont également mentionné le problème croissant des armes légères et de petit calibre (ALPC), tout particulièrement dans les pays en développement.
Renoncer à la « mentalité de guerre froide », universaliser le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), créer au Moyen-Orient une zone exempte d’armes nucléaires et autres armes de destruction massive, mieux coopérer pour lutter contre le trafic d’armes légères et de petit calibre: en ce quatrième jour du débat général de la Première Commission (chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale), les 22 délégations qui se sont exprimées ont exploré les moyens à privilégier pour atténuer les tensions et pacifier à terme un environnement sécuritaire ébranlé par les conflits au Moyen-Orient et en Ukraine.
La troisième journée du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a vu se succéder aujourd’hui 24 délégations. Si les thématiques abordées ont été nombreuses, les discussions ont été dominées par les questions relatives à la réduction des risques nucléaires, les armes légères et de petit calibre (ALPC) et les systèmes d’armes létaux autonomes (SALA).
La vingtaine de délégations qui ont pris la parole lors de la deuxième journée du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale), ont abordé de nombreux thèmes, notamment l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) à des fins militaires, la militarisation de l’espace extra-atmosphérique et la menace nucléaire croissante. La guerre en Ukraine et les conflits au Moyen-Orient ont une fois encore formé la toile de fond de discussions souvent tendues, lesquelles ont donné lieu à de nombreux droits de réponse en fin de séance.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a démarré, ce matin, les travaux de fond de sa soixante-dix-neuvième session. Comme le veut la pratique, l’ouverture de la séance a été confiée à la Haute-Représentante pour les affaires de désarmement, Mme Izumi Nakamitsu, qui a axé son propos sur les enjeux de la Commission dans un contexte marqué par l’adoption récente du Pacte pour l’avenir et les commémorations de l’attaque du Hamas contre Israël perpétrée il y a un an jour pour jour.
Chargée des questions de désarmement et de la sécurité internationale, la Première Commission a tenu aujourd’hui sa séance d’organisation sous la présidence de Mme Maritza Chan Valverde (Costa Rica). Elle a approuvé son programme de travail pour la soixante-dix-neuvième session de l’Assemblée générale.