La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a commencé aujourd’hui à se prononcer sur l’ensemble des 76 projets de résolution et de décision qu’il lui reste à adopter. Elle a adopté les 24 projets de résolution consacrés aux armes nucléaires. Signe des tensions actuelles, seuls trois projets ont pu être adoptés sans vote, tandis que 11 autres textes nécessitaient un total de 57 votes séparés avant d’être mis aux voix dans leur entier. L’an dernier, 7 des 20 projets de résolution sur le sujet avaient pu être adoptés sans mise aux voix.
En cours au Siège de l'ONU
Désarmement
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a achevé, ce matin l’examen du chapitre consacré à l’espace extra-atmosphérique et, du même coup, son débat thématique, mené durant 15 séances depuis le 18 octobre. Si les principaux pays occidentaux avaient présenté leurs observations et propositions en matière de sécurité spatiale lors de la séance d’hier, celle d’aujourd’hui a été dominée par la présentation par la Fédération de Russie d’une déclaration commune au nom de huit pays, ainsi que par les initiatives de la Chine.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a débattu aujourd’hui du mécanisme onusien de désarmement et de ses blocages, avant de commencer à étudier le dernier chapitre de son débat thématique: l’espace extra-atmosphérique, menacé de militarisation.
Poursuivant son débat thématique, la Première Commission, chargée du désarmement et de la sécurité internationale, a traité aujourd’hui des questions de désarmement régional. Elle a, notamment, examiné les conditions de création d’une zone exempte d’armes nucléaires et autres armes de destruction massive au Moyen-Orient, un projet datant d’une résolution de 1995 adoptée lors d’une conférence d’examen du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) s’est consacrée aujourd’hui à son débat thématique sur les « autres mesures de désarmement et sécurité internationale », lesquelles comprennent notamment les questions liées aux technologies de l’information et des communications (TIC). Les délégations ont été nombreuses à se féliciter du fait que le thème de la cybersécurité soit désormais abordé à travers un projet de résolution unique, alors que les années précédentes avaient vu s’affronter deux projets concurrents.
La Première Commission (désarmement et de sécurité internationale) a achevé aujourd’hui sa discussion thématique sur les armes classiques après avoir entendu 84 interventions en deux jours. Parce que ces armes classiques, considérées par beaucoup comme les véritables armes de destruction massive de notre temps, représentent un enjeu majeur de sécurité pour l’ensemble des régions du monde, qu’elles soient ou non touchées par des conflits, les délégations ont souligné qu’il n’existe pas de réponse unique pour en contrôler la circulation, l’usage, la destruction ou encore l’interdiction.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé ce matin l’examen du chapitre de son débat thématique consacré aux « armes classiques » après avoir achevé celui consacré aux « autres armes de destruction massive ». Les délégations ont amplement débattu de la lutte contre le trafic illicite des armes légères et de petit calibre (ALPC), évoquant également les mines antipersonnel et les systèmes d’armes létaux autonomes.
Après avoir achevé son débat sur les armes nucléaires, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) s’est penchée, aujourd’hui, sur les « autres armes de destruction massive », soit essentiellement les armes chimiques et les armes biologiques ou à toxine.
La Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale a poursuivi, ce matin, sa discussion thématique sur les armes nucléaires. Les pays ont exprimé des vues contrastées, tantôt pour souligner l’importance de légiférer sur l’aspect humanitaire de ces armes, tantôt pour en défendre la place dans les doctrines et politiques de sécurité des États dotés, officiellement ou non, parties ou non au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP). En outre, les pays en développement ont attiré l’attention sur l’importance pour eux de pouvoir bénéficier sans entrave des utilisations pacifiques de l’énergie atomique dans le cadre des accords qui les lient à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
La Première Commission, chargé des questions de désarmement et de sécurité internationale, a entamé ce vendredi son débat thématique appelé à durer jusqu’au 30 octobre. Comme de coutume, c’est par le chapitre consacré aux armes nucléaires que ce débat a commencé, avec notamment des déclarations des groupes régionaux mais aussi d’Israël et des États-Unis.