La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a entendu ce matin des délégations exprimer leur vive inquiétude quant à l’issue des négociations, celles-ci entrant dans la dernière « ligne droite », selon l’expression du délégué de Cuba.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
L’Assemblée générale a adopté, cet après-midi, trois résolutions, dont deux portant sur l’organisation de réunions de haut niveau.
La Présidente de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a promis, ce matin, qu’une version consolidée du nouvel avant-projet d’accord actualisé, sur la base duquel travaillent les délégations, sera présentée ce samedi.
Le Conseil de sécurité a marqué, ce matin, l’anniversaire de l’invasion russe de l’Ukraine, intervenue le 24 février 2022, en organisant un débat lors duquel le Secrétaire général de l’ONU a insisté sur le « besoin de paix, une paix conforme à la Charte des Nations Unies et au droit international » et a appelé à « encourager chaque effort significatif qui vise à mettre fin à l’effusion de sang et donner une bonne fois pour toutes une chance à la paix ».
Dans le cadre de sa onzième session extraordinaire d’urgence reprise hier et à quelques heures seulement du premier anniversaire de l’invasion de l’Ukraine par la Fédération de Russie, l’Assemblée générale a adopté, aujourd’hui, à une large majorité, une nouvelle résolution destinée cette fois à défendre les principes de la Charte des Nations Unies « sous-tendant une paix globale, juste et durable en Ukraine ».
La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a entendu ce matin des rapports résumant les travaux qui se sont tenus ces deux derniers jours lors de consultations informelles.
Le Conseil de sécurité a tenu ce matin sa séance annuelle consacrée à la coopération entre l’ONU et l’Union européenne (UE). Face au « déficit de multilatéralisme », qui s’est selon lui installé jusqu’au Conseil de sécurité, le Haut Représentant de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, M. Josep Borrell, a dressé aujourd’hui un constat pessimiste pour 2023, raison pour laquelle la coopération entre les deux organisations lui est apparue plus que jamais indispensable, comme à la plupart des membres du Conseil, à l’exception notable de la Fédération de Russie.
Le Conseil de sécurité s’est penché, ce matin, sur la situation en Somalie. À l’initiative de sa présidente maltaise, signataire de la Déclaration sur les engagements partagés du 31 août 2021 concernant la question des femmes et de la paix et de la sécurité, la séance était axée sur ce thème phare du Conseil depuis plus de 22 ans.
« Des progrès ont été enregistrés dans les consultations informelles pour chacune des thématiques examinées », s’est enthousiasmée, ce matin, Mme Rena Lee, de Singapour, Présidente de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
À la veille du premier anniversaire de l’invasion russe de l’Ukraine, l’Assemblée générale a repris, cet après-midi, sa onzième session extraordinaire d’urgence. Avant de se prononcer, demain, sur un projet de résolution intitulé « Principes de la Charte des Nations Unies sous-tendant une paix globale, juste et durable en Ukraine », présenté par le Ministre des affaires étrangères de l’Ukraine, les États Membres ont entendu l’appel du Secrétaire général à ne pas perdre un instant si l’on veut parvenir à une paix véritable fondée sur le droit international et en particulier la Charte.