La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a poursuivi, aujourd’hui, ses échanges sur la promotion et la protection des droits de l’homme en dialoguant avec six rapporteurs et experts qui ont appelé à prendre en compte des droits oubliés, tels que les droits des minorités ou les droits culturels des populations locale.
En cours au Siège de l'ONU
Troisième Commission
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a entamé, aujourd’hui, sa discussion générale sur la promotion et la protection des droits de l’homme, un échange qui, comme de coutume, a fait apparaître de profondes lignes de fracture entre États Membres, tant sur les priorités à défendre que sur les modalités de mise en œuvre de ces droits, certains fustigeant leur utilisation à des fins politiques, quand d’autres préconisent des efforts dans des pays spécifiques.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a poursuivi, aujourd’hui, ses échanges sur la promotion et la protection des droits humains, donnant la parole à six titulaires de mandat qui ont exposé leur travail sur quatre grandes thématiques: les disparitions forcées, le droit à la vie privée, l’éducation, et les droits des migrants.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a poursuivi, aujourd’hui, ses échanges sur la promotion et la protection des droits humains, l’occasion pour les États Membres et les six titulaires de mandat avec lesquels ils ont échangé de se pencher sur l’impact des changements climatiques sur les victimes de traite des personnes, et de revenir sur le sujet toujours sensible du droit au développement.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a dialogué aujourd’hui avec pas moins de huit experts et titulaires de mandat, l’occasion pour les délégations de faire le point sur plusieurs dimensions des droits de la personne, dont le problème de la torture, la manipulation de l’information en temps de guerre, l’application de mesures coercitives unilatérales dans le cyberespace, et l’indépendance des juges et des avocats.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a entamé, aujourd’hui, son examen de la promotion et de la protection des droits de l’homme en dialoguant avec quatre intervenants, dont la Sous-Secrétaire générale aux droits de l’homme. Mme Ilze Brands Kehris n’a pas caché la difficulté accrue que représentent les bouleversements actuels pour la défense des droits humains, en plus de constater une disparité croissante entre les normes internationales en la matière et la réalité sur le terrain, facteur selon elle de méfiance entre les peuples.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, s’est penchée, ce matin, sur les droits des peuples autochtones en orientant sa discussion sur le rôle déterminant que jouent ces populations, souvent confrontées à la marginalisation et à l’extrême pauvreté, dans la lutte contre la dégradation de l’environnement. Un rôle souligné par le Rapporteur spécial sur les droits des peuples autochtones, qui, sous l’angle des zones protégées, a invité les États Membres à adopter une approche de la conservation fondée sur les droits humains.
En conclusion de sa discussion générale sur les droits de l’enfant, la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a insisté, ce matin, sur le sort des enfants les plus vulnérables face aux crises et conflits que connaît le monde. Les dernières délégations à s’exprimer sur ce point de l’ordre du jour ont fait état de législations et de programmes nationaux visant à mieux les protéger, qu’ils soient enfants des rues, réfugiés ou encore issus des minorités. La Commission a ensuite achevé son débat général sur la promotion des femmes.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a poursuivi, aujourd’hui, sa discussion générale sur le thème des droits de l’enfant. Plus de 70 États Membres ont cette fois pris la parole pour réitérer leur engagement en faveur d’un monde plus juste envers les enfants, détailler leurs arsenaux législatifs et, surtout, déplorer le retard pris par la communauté internationale dans la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) qui se rapportent à l’enfance.
Le « monde n’est toujours pas digne de tous les enfants ». C’est l’amer constat dressé aujourd’hui devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, par le Directeur des Programmes de l’UNICEF, rejoint dans son analyse par quatre autres experts de la question des droits des enfants avec qui les États Membres ont dialogué. La pandémie de COVID-19, les conflits et autres crises humanitaires et les changements climatiques ont terni plus encore la situation, a diagnostiqué M. Sanjay Wijesekera, craignant que nombre d’enfants marginalisés et vulnérables risquent d’être laissés pour compte ou privés de leur droit.