La Troisième Commission, en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles, a lancé aujourd’hui les travaux de sa soixante-dix-neuvième session, présidée par M. Zéphyrin Maniratanga (Burundi). La première séance, consacrée au développement social, a été l’occasion de constater le peu de progrès enregistrés dans ce domaine, avec un accent particulier mis sur les personnes âgées, leurs droits et leur intégration dans la société, étant donné le vieillissement constant de la population mondiale.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
La Deuxième Commission de l’Assemblée générale (questions économiques et financières) a entamé, ce matin, sa soixante-dix-neuvième session en approuvant son ordre du jour et l’organisation de ses travaux.
Ce matin, la Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a approuvé son calendrier et son programme de travail pour la soixante-dix-neuvième session de l’Assemblée générale, qui prévoit 28 séances réparties entre le 3 octobre et le 20 novembre 2024.
Le Conseil de sécurité s’est réuni, ce matin, pour examiner la situation en Somalie sur la base du dernier rapport en date du Secrétaire général portant sur les principaux faits intervenus du 24 mai au 18 septembre 2024.
Le Conseil de sécurité s’est réuni cet après-midi pour évoquer la coopération accrue entre l’ONU et l’Union africaine (UA). La mise en œuvre de la résolution 2719, sur le financement des opérations de soutien de la paix menées par l’UA, a été au cœur des discussions. Ce texte, adopté à l’unanimité des 15 membres du Conseil le 21 décembre 2023, constitue un cadre pour un financement stable et prévisible des opérations de soutien de la paix menées par l’UA —y compris les opérations de lutte contre le terrorisme–, tout en renforçant les capacités africaines à gérer les conflits de manière autonome. Il s’agit ainsi, comme l’a dit la Sierra Leone au nom du groupe A3+ (Algérie, Mozambique, Sierra Leone et Guyana), de mettre en place des « solutions africaines aux défis africains ».
La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a entamé, ce matin, son programme de travail (A/C.6/79/1 et A/C.6/79/L.1) qui sera marqué par la tenue d’une trentaine de réunions jusqu’au 22 novembre, date prévue pour la dernière séance de cette soixante-dix-neuvième session de l’Assemblée générale.
À la demande de la France, le Conseil de sécurité s’est réuni, ce matin, pour faire le point sur l’enchevêtrement des crises qui secouent le Moyen-Orient alors que le conflit qui fait rage dans la bande de Gaza menace de se transporter au Liban, où frappes et représailles se succèdent entre Israël, le Hezbollah et l’Iran, alimentant des tensions qui menacent d’entraîner la région tout entière dans l’abîme.
Après s’être projetés dans l’avenir lors d’un sommet de deux jours qui a adopté deux pactes et une Déclaration sur les générations futures, 113 Chefs d’État et de gouvernement sont, avec d’autres, remontés à la tribune de l’Assemblée générale pour faire le procès du présent et rendre un jugement sans appel aux institutions de la gouvernance mondiale, y compris les Nations Unies.
Sur demande de la Fédération de Russie, le Conseil de sécurité a examiné cet après-midi l’autorisation conférée par la résolution 2240 (2015), qui est arrivée à échéance hier sans être renouvelée. Ce texte, revu il y a un an par la résolution 2698 (2023), permettait notamment aux États Membres d’inspecter des bateaux naviguant au large des côtes libyennes s’ils avaient « des motifs raisonnables de soupçonner qu’ils sont utilisés pour le trafic de migrants ».
La Représentante spéciale du Secrétaire général pour la République démocratique du Congo (RDC) a indiqué ce matin, devant le Conseil de sécurité, que malgré certains progrès, des défis considérables demeurent à être surmontés dans ce pays, précisant notamment que ces derniers mois, la compétition autour de l’exploitation et du commerce des ressources naturelles a exacerbé les dynamiques du conflit dans l’est de la RDC.