La Deuxième Commission (questions économiques et financières) réunie en plénière ce matin a adopté 12 projets de résolution, dont 10 par consensus. Ces textes font la part belle au développement durable, aux questions de politiques macroéconomiques et au développement agricole, ainsi qu’à l’élimination de la pauvreté et aux groupes de pays en situation particulière que sont les pays en développement sans littoral.
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La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a mis aujourd’hui un point final aux travaux de sa soixante-seizième session en entérinant ses neuf derniers projets de résolution, dont trois abordent les retombées de la crise sanitaire actuelle sur la jouissance des droits humains par tous.
Après d’intenses négociations, la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, a adopté, cet après-midi, les neuf premiers projets de résolution de cette session, dont trois à l’issue d’un vote.
Au terme de sa soixante-seizième session, entamée le 4 octobre, et marquée tout de même par les circonstances « extrêmement difficiles » imposées par la pandémie de COVID-19, comme l’a reconnu sa Présidente, Mme Alya Ahmed Saif Al-Thani, la Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a adopté ce matin, sans vote et dans l’esprit de consensus qui prévaut en son sein, 15 projets de résolution et un projet de décision.
« Abandonner le peuple afghan serait une erreur historique, une erreur déjà commise qui a eu des conséquences tragiques par le passé », a mis en garde cet après-midi, devant le Conseil de sécurité, la Représentante spéciale du Secrétaire général en Afghanistan.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a entériné, aujourd’hui cinq projets de résolution portant sur la situation des droits humains dans des pays spécifiques, affichant, une fois encore sa profonde division entre les partisans d’un examen de situations précises et les délégations opposées à ce processus qu’elles jugent biaisé et contre-productif, prônant en lieu et place la procédure de l’Examen périodique universel (EPU) du Conseil des droits de l’homme.
Au lendemain de la vingtième-sixième Conférence des États parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP26), le Directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a fait, aujourd’hui, devant l’Assemblée générale, un vibrant plaidoyer en faveur de l’énergie nucléaire.
L’achèvement du processus électoral est « plus important que jamais », afin que tous les efforts puissent revenir aux priorités clefs de la gouvernance, de la sécurité et du développement en Somalie, a expliqué, ce matin, le Représentant spécial du Secrétaire général et Chef de la Mission d’assistance des Nations Unies en Somalie (MANUSOM), M. James Swan, venu présenter le rapport du Secrétaire général. Son appel a été relayé par la majorité des délégations, qui ont également insisté sur la nécessité d’aller au « plus vite » et de respecter le quota de 30% de femmes élues.
L’Assemblée générale a poursuivi aujourd’hui le débat qu’elle a entamé hier sur la réforme du Conseil de sécurité, un point inscrit à son ordre du jour en 1979, et dont les « négociations intergouvernementales » entrent dans leur quatorzième année.
Invité par sa présidence mexicaine à réfléchir sur la diplomatie préventive en tant qu’objectif commun pour tous les organes principaux de l’Organisation des Nations Unies, le Conseil de sécurité a adopté, aujourd’hui, une déclaration présidentielle dans laquelle il se dit « déterminé à tout mettre en œuvre pour encourager les échanges réguliers avec l’Assemblée générale, le Conseil économique et social, la Cour internationale de Justice et le Secrétariat, dans le respect des mandats conférés aux uns et aux autres par la Charte des Nations Unies, en particulier sur les questions relatives aux outils et mécanismes de diplomatie préventive ».