La Sixième Commission (questions juridiques) a terminé aujourd’hui son examen du rapport annuel de la Commission du droit international (CDI), entamé le 25 octobre dernier, avec le débat sur le dernier groupe thématique du rapport portant sur la succession d’États en matière de responsabilité de l’État et sur les principes généraux du droit. Dans l’ensemble, la Commission s’est montrée réservée sur ces deux thèmes.
En cours au Siège de l'ONU
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L’Assemblée générale a entamé, aujourd’hui, son débat annuel sur le blocus imposé à Cuba, qui, comme dans le passé, a été marqué par de nombreux appels à la levée des mesures qui violent les droits humains du peuple cubain ainsi que la liberté de commerce et de navigation.
Le Conseil de sécurité a rejeté, cet après-midi, par 2 voix pour –Chine et Fédération de Russie-, 3 voix contre –États-Unis, France et Royaume-Uni- et 10 abstentions –tous les membres élus du Conseil- un projet de résolution présenté par la Fédération de Russie relatif à la plainte déposée par ce pays au titre de l’article VI de la Convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques (biologiques) ou à toxines et sur leur destruction (CIABT).
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, s’est penchée, aujourd’hui, sur les travaux du Conseil des droits de l’homme (CDH), donnant au Président de cet organe onusien l’occasion de se féliciter de la « grande agilité » dont a fait preuve le CDH pour répondre aux crises urgentes dans le monde, à commencer par la guerre en Ukraine et la situation des femmes et des filles en Afghanistan.
La Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a poursuivi cet après-midi son examen de la question des opérations de maintien de la paix sous tous leurs aspects en s’attardant sur la place des femmes dans les opérations de paix et sur la complexité croissante des missions des Nations Unies.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi ce matin l’examen des projets de résolution et de décision qui lui sont soumis, en examinant les textes consacrés au chapitre « Autres mesures de désarment et sécurité internationale », lequel comprend notamment les questions liées aux technologies de l’information et des communications (TIC) et à la cybersécurité, ainsi que la coopération internationale et le contrôle des armements.
Plus de 103 millions de réfugiés et de personnes déplacées dans le monde. Tel est le constat alarmant que M. Filippo Grandi, Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, a dressé ce matin au Conseil de sécurité, appelant la communauté internationale à coopérer d’urgence afin d’inverser la trajectoire actuelle et de faire émerger des solutions.
Ce n’est un secret pour personne que le régime commun des Nations Unies est confronté aujourd’hui à un défi important à Genève, a déclaré le Pakistan, toujours aussi « perplexe » devant la situation actuelle. La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires a rouvert aujourd’hui le dossier lié à la coexistence, dans la ville suisse, de deux différents coefficients d’ajustement de poste au coût de la vie, compte tenu des arrêts contradictoires du Tribunal administratif de l’Organisation internationale du Travail (OIT) et du Tribunal d’appel des Nations Unies.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale), a adopté aujourd’hui 21 projets de résolution et de décision relatifs aux autres armes de destructions massive (non nucléaires), aux aspects de désarmement de l’espace extra-atmosphérique et aux armes classiques. Seuls quatre de ces textes ont pu être adoptés sans vote.
L’invasion de l’Ukraine par la Fédération de Russie a entraîné l’une des crises de déplacement les plus rapides au monde depuis la Seconde Guerre mondiale, a alerté aujourd’hui le Haut-Commissaire pour les réfugiés devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles ce mardi. Évoquant la situation très préoccupante des Ukrainiens restés dans le pays, M. Filippo Grandi a cependant exhorté à ne pas faire l’impasse sur les nombreuses autres crises dans le monde, avant d’alerter sur les difficultés financières inédites du Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR).