La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a examiné, cet après-midi, les propositions du Secrétaire général visant à modifier le Règlement financier de l’Organisation, dans le cadre de la réforme des pratiques de gestion.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale: Couverture des réunions
Déjà une semaine de travaux s’est écoulée pour la deuxième session de négociations sur un instrument international juridiquement contraignant sur la haute mer: la Conférence intergouvernementale et ses groupes de travail ont discuté, point par point, des différentes options sur trois des quatre thèmes fixés lors de la session d’organisation en avril 2018.
À l’ouverture d’une réunion de haut niveau sur le climat et le développement durable pour tous, organisée les 28 et 29 mars par l’Assemblée générale, le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, a exhorté les dirigeants du monde qui participeront au Sommet Action Climat qu’il organisera le 23 septembre prochain à New York, à venir « avec un plan », afin que nous puissions nous engager « une fois pour toute » sur « une voie durable ». Avec le même sens de l’urgence, la Présidente de l’Assemblée générale, Mme María Fernanda Espinosa, les a priés d’« écouter les jeunes » car, il n’y a pas de « planète B ».
En ce quatrième jour des travaux de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant sur la haute mer, le Groupe de travail sur « les mesures telles que les outils de gestion par zone, y compris les aires marines protégées », a poursuivi son débat, entamé hier après-midi, sur les conditions de désignation des aires protégées marines et sur les instances devant évaluer et décider d’une telle opportunité.
Au troisième jour des négociations visant à établir un instrument sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité dans les zones marines ne relevant pas des juridictions nationales, les délégations ont plongé dans le vif du débat sur les divers champs d’application du futur instrument (géographique, matériel et temporel), tout en discutant de la question de l’accès aux ressources et notamment du partage des avantages.
Le Comité spécial des opérations de maintien de la paix, qui avait commencé ses travaux le 22 février, a fermé ses portes aujourd’hui avec 20 jours de retard, sans avoir adopté ses recommandations* faute de consensus sur certaines questions, dont celles des capacités africaines de maintien de la paix et du financement du Fonds pour la paix de l’Union africaine.
Après le démarrage, hier, de la deuxième session de négociation sur un futur traité relatif au droit de la mer, qui aura pour but « la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité dans les zones marines ne relevant pas des juridictions nationales », les discussions se sont poursuivies aujourd’hui sur l’un des quatre thèmes à l’étude: les ressources génétiques marines, y compris le partage des avantages.
Ce matin, le coup d’envoi a été donné aux travaux de la deuxième session de fond de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des « zones ne relevant pas de la juridiction nationale », c’est-à-dire la haute mer
« Les mots sont puissants. Les mots peuvent tuer. “Vous êtes des sous-hommes.” “Vous êtes des rats.” “Vous êtes des cafards qui doivent être exterminés.” Ces mots renvoient à certains des pires crimes de l’histoire humaine: esclavage, décimation des peuples autochtones, Holocauste, apartheid. »
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a examiné, ce matin, une demande de crédit de 2,7 millions de dollars, présentée par le Secrétaire général de l’ONU, pour financer en 2019 le Mécanisme de surveillance de l’aide humanitaire en Syrie