En cours au Siège de l'ONU

Cinquième Commission


AG/AB/4080
Aujourd’hui à la Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, les délégations n’ont pas caché leur mécontentement face à la méthodologie employée pour un projet de budget de 5,404 milliards de dollars pour 2014-2015 mais qui, après actualisation des coûts, devrait atteindre les 5,562 milliards de dollars d’ici à 2015.
AG/AB/4079
La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a examiné, ce matin, la demande de subvention de 577 800 dollars pour l’Institut des Nations Unies pour la recherche sur le désarmement (UNIDIR) et les incidences financières, estimées à 91 100 dollars, des résolutions et décisions prises par le Conseil économique et social (ECOSOC) en 2013.
AG/AB/4077
Le nombre élevé des affaires traitées par le nouveau système d’administration de la justice à l’ONU traduit une mauvaise gestion des relations entre les supervisés et les superviseurs, a prévenu aujourd’hui le représentant de Fidji devant la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires.
AG/AB/4076
Une semaine après l’exposé sur la situation financière des Nations Unies du 9 octobre 2013, les délégations de la Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, ont réitéré leurs inquiétudes face à des arriérés de paiement de 945 millions de dollars au budget ordinaire de l’ONU, pour la période 2012-2013.
AG/AB/4074
Avant le débat qu’elle a prévu de tenir jeudi 17 octobre sur la situation financière de l’ONU, la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, a entendu, ce matin, le Secrétaire général adjoint à la gestion parler d’une tension due aux 945 millions de dollars du budget ordinaire qui restent à recouvrer, d’ici à la fin 2013.
AG/AB/4073
Le Bureau des services de contrôle interne (BSCI) pousse l’ONU vers l’excellence, a estimé aujourd’hui le représentant des États-Unis qui a ajouté que l’attention portée sur le gaspillage, la fraude et la mauvaise gestion contribue énormément à la promotion de l’intégrité et du principe de responsabilité aux Nations Unies.