En cours au Siège de l'ONU

Cinquième Commission


AG/AB/4091
Aujourd’hui à la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, le représentant de la Fédération de Russie a rejeté la moindre augmentation du coût estimatif d’Umoja, le progiciel de gestion intégré, alors que ses homologues de l’Éthiopie et du Soudan ont rejeté toute réduction du budget de la Force intérimaire de sécurité des Nations Unies pour Abyei (FISNUA).
AG/AB/4087
Le représentant des États-Unis a proposé, ce matin, à la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, de réduire les indemnités de poste des fonctionnaires internationaux des Nations Unies, pour limiter la marge croissante entre la rémunération de ces fonctionnaires et celle du personnel de l’administration américaine, administration de référence utilisée par la Commission de la fonction publique internationale (CFPI).
AG/AB/4084
La Cinquième Commission a nommé, ce matin, sous réserve de l’approbation de l’Assemblée générale, les personnalités qui vont occuper les sièges devenus vacants au Comité consultatif pour les questions administratives et budgétaires (CCQAB), au Comité des contributions, au Comité des placements, au Comité des commissaires aux comptes (CCC), à la Commission de la fonction publique internationale et au Comité consultatif indépendant pour les questions d’audit (CCIQA).
AG/AB/4083
Aujourd’hui, le représentant de l’Union européenne a estimé à 315 millions de dollars le dépassement des coûts de la rénovation du Siège de l’ONU à New York. Il s’exprimait devant la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires où des délégations ont fait part de leur crainte s’agissant du financement de l’assurance maladie après la cessation de service.
AG/AB/4082
Le représentant du Cameroun s’est dit inquiet aujourd’hui de l’explosion des ressources extrabudgétaires estimées à 14,1 milliards de dollars, donnant trop de pouvoir aux donateurs et faisant courir à l’ONU le risque d’une « gestion à la carte » au lieu d’une « gestion à la Charte ».