La poursuite, ce matin, du débat sur les six domaines d’action de l’Instance permanente sur les questions autochtones en relation avec la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, a été marquée par de nombreux appels en faveur d’une plus grande participation des jeunes et des enfants autochtones aux travaux de l’Instance.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil économique et social: Communiqués de presse
Après trois journées de travail intensif en format virtuel, le Forum des Nations Unies sur les forêts (FNUF) a clos ce matin sa seizième session sur un appel de sa présidente à fournir plus de volonté politique pour atteindre les objectifs convenus pour « nos forêts » et pour le « développement de tous les peuples ».
À la veille de la clôture de sa seizième session, le Forum des Nations Unies sur les forêts (FNUF) a procédé aujourd’hui au lancement des activités du centre d’échange du Réseau mondial de facilitation du financement forestier, l’un des outils de mise en œuvre du plan stratégique des Nations Unies sur les forêts (2017-2030).
Le cinquième jour des travaux de l’Instance permanente sur les questions autochtones a été marqué par de nombreux appels à protéger et revitaliser les langues autochtones à l’approche de la Décennie internationale des langues autochtones qui débutera en 2022.
La contribution des forêts à la résolution des problèmes contemporains, comme les changements climatiques et la pandémie, a été mise en avant aujourd’hui par les participants au Forum des Nations Unies sur les forêts (FNUF) qui a tenu deux tables rondes pour examiner le niveau de mise en œuvre du Plan stratégique des Nations Unies sur les forêts (2017-2030).
La protection, la restauration et l’utilisation durable des forêts sont essentielles pour « reconstruire en mieux et nous protéger contre de nouvelles pandémies », a lancé la Secrétaire exécutive de la Convention sur la diversité biologique ce matin à l’ouverture de la seizième session du Forum des Nations Unies sur les forêts (FNUF).
La quatrième journée de la vingtième session de l’Instance permanente sur les questions autochtones a été l’occasion pour les organisations autochtones de renouveler leur demande d’une participation accrue aux travaux de l’ONU et d’une représentation de la « nation » des peuples autochtones à l’Assemblée générale.
Le Rapporteur spécial sur les droits des peuples autochtones, a alerté, ce matin, que le virus de la COVID-19 représente une menace existentielle pour les peuples autochtones, et qu’en l’absence d’une action renforcée des États, la pandémie reléguera encore plus loin ces communautés dont les moyens d’existence et la culture risquent de disparaître.
En terminant ce matin son débat général entamé lundi, la Commission de la population et du développement a entendu une douzaine d’organisations non gouvernementales (ONG) plaider pour que les décideurs les impliquent davantage dans les processus d’élaboration, de mise en œuvre et d’évaluation des politiques en matière de sécurité alimentaire.
Des chercheurs de Thaïlande, du Liban, des Pays-Bas, des ONG impliquées dans la nutrition et la santé ainsi que de nombreux États Membres ont défendu divers arguments, aujourd’hui à la Commission de la population et du développement, pour améliorer l’accès aux aliments sains, dans le cadre de systèmes alimentaires durables.