La Commission de la condition de la femme a entendu, ce matin, cinq nouveaux exposés volontaires au cours desquels les États ont souligné qu’en dépit d’un chemin encore long, et malgré de nombreux obstacles structurels sur la voie de la parité entre les sexes et de l’autonomisation des femmes, certaines avancées sont déjà visibles et devraient servir de base pour reconstruire en mieux après la pandémie.
Conseil économique et social: Communiqués de presse
Ce matin, la Commission de la condition de la femme a entendu cinq États Membres présenter un exposé volontaire sur l’application, à l’échelon national, des conclusions concertées de sa session de 2016 qui avait pour thème l’autonomisation des femmes et son lien avec le développement durable.
La Commission de la condition de la femme a poursuivi, ce matin, sa discussion générale, l’occasion pour les ministres participants de braquer une fois de plus les projecteurs sur le fléau des violences sexuelles et sexistes, en forte progression en cette période de pandémie.
La Commission de la condition de la femme a débattu, ce matin, de la participation et du leadership des femmes en matière de riposte à la COVID-19 et de relèvement.
Au troisième jour des travaux de sa soixante-cinquième session, la Commission de la condition de la femme a examiné, aujourd’hui, dans le cadre d’un dialogue interactif, l’épineuse question de la violence sexiste dans la sphère publique et de son impact sur le respect des droits, la démocratie et les processus électoraux.
Au deuxième jour de sa soixante-cinquième session, la Commission de la condition de la femme s’est penchée, aujourd’hui, sur les bonnes pratiques et les moyens de créer un environnement propice à la pleine participation des femmes à la prise de décisions dans la sphère publique à l’occasion de deux tables rondes ministérielles.
On trouvera ci-après le discours du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, prononcée à l’ouverture de la soixante-sixième session de la Commission de la condition de la femme, à New York, aujourd’hui:
Cyberharcèlement, exploitation des enfants, creusement du fossé numérique, intelligence artificielle – la conclusion, aujourd’hui, du débat général de la Commission du développement social a vu de nombreux États Membres et organisations non-gouvernementales (ONG) insister sur la « face sombre » du numérique.
La Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, son débat général, l’occasion, une fois de plus, pour les délégations d’exprimer leurs vues sur le thème prioritaire de cette session, tout en mettant en avant leurs propres réalisations en matière de transformation numérique, dans des contextes plus ou moins favorables.
La Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, sa réflexion sur le rôle des technologies numériques au service du développement social, du bien-être et de la justice sociale en réunissant, dans le cadre d’un forum multipartite, un groupe d’universitaires, de représentants de la société civile et de gouvernements qui ont parlé de leur domaine d’expertise respectif allant des enfants, aux femmes et aux familles en passant par le gaspillage alimentaire.