On trouvera ci-après le discours du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à la Réunion plénière de haut niveau pour célébrer et promouvoir la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires à New York, aujourd’hui:
En cours au Siège de l'ONU
#UNGA78
« Le nombre d’armes nucléaires pourrait augmenter pour la première fois depuis des décennies », s’est alarmé aujourd’hui le Secrétaire général de l’ONU à l’ouverture de la réunion de haut niveau tenue chaque année à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires, à laquelle ont participé quelque 80 délégations, dont une douzaine était représentée au niveau ministériel.
Dans un contexte où la communauté internationale semble incapable de s’unir pour répondre aux tensions géopolitiques et autres défis du monde, comme l’a dit le Secrétaire général, 136 chefs d’État et de gouvernement, et 40 ministres se sont succédé à la tribune de l’Assemblée générale, dès le 19 septembre, pour deviser sur le thème « Rétablir la confiance et raviver la solidarité mondiale pour accélérer la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030 en faveur de la paix, de la prospérité, du progrès et de la durabilité ».
Au cinquième jour du débat général, marqué notamment par le discours du Ministre des affaires étrangères de la Fédération de Russie, nombre des intervenants ont présenté devant l’Assemblée générale leurs perceptions et leurs souhaits quant à la gestation d’un nouvel ordre mondial.
Une réunion de haut niveau sur la lutte contre la tuberculose, organisée aujourd’hui en marge du débat annuel de l’Assemblée générale, a rassemblé des dirigeants, ministres de la santé, présidents d’organisations internationales et non gouvernementales et représentants de la société civile.
La menace que fait peser la crise climatique sur les petits États insulaires en développement (PEID) et les multiples facettes des points de tension mondiaux ont animé, aujourd’hui, les interventions des chefs d’État et de gouvernement réunis à l’occasion du débat général de l’Assemblée générale, lesquels ont préconisé un multilatéralisme raffermi et une coopération toujours plus étroite entre les États, notamment au niveau régional.
Les États Membres ont approuvé aujourd’hui une déclaration politique par laquelle ils proclament que chaque être humain a le droit de jouir du plus haut niveau de santé physique et mentale possible et se réengagent en faveur d’une couverture sanitaire universelle.
Les appels à de profonds changements se sont poursuivis en ce troisième jour de débat général de l’Assemblée générale des Nations Unies. Outre la réforme du Conseil de sécurité, il a aujourd’hui beaucoup été question de réformer l’architecture financière internationale: des initiatives réclamées d’urgence par les pays les moins avancés (PMA), dont 15 se sont exprimés aujourd’hui.
On trouvera, ci-après, le texte de l’allocution du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, prononcée à l’occasion de la Réunion ministérielle sur le Sommet de l’avenir, à New York, aujourd’hui:
Aujourd’hui, les États Membres ont participé à une réunion de haut niveau inédite sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies. À cette occasion, ils ont approuvé une déclaration politique qui appelle à renforcer la coopération internationale en s’appuyant sur les agences de l’Organisation des Nations Unies, au premier rang desquelles l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), et à garantir un accès « rapide, durable et équitable » aux vaccins, aux diagnostics et aux traitements.
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