En cours au Siège de l'ONU

Couverture des réunions


AG/12546

Vives émotions, images chocs et fermes condamnations ont marqué la reprise, aujourd’hui, de la dixième session extraordinaire d’urgence de l’Assemblée générale consacrée aux mesures illégales prises par les autorités israéliennes, à Jérusalem-Est occupée ainsi que dans le reste du Territoire palestinien occupé, au moment où la région vit l’une des plus graves crises de son histoire moderne.

AG/DSI/3727

La Première Commission a achevé, aujourd’hui, son débat thématique, à l’issue de 15 séances.  À partir de demain après-midi, les 61 projets de résolution présentés au titre des sept chapitres examinés seront soumis à l’adoption de la Commission du désarmement et de la sécurité internationale de l’Assemblée générale.

AG/SHC/4392

Bénéficiant ce matin d’une traduction simultanée en langue des signes, la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a dialogué aujourd’hui avec cinq titulaires de mandat et la Présidente d’un organe conventionnel, notamment au sujet des droits des minorités et des personnes handicapées

AG/SHC/4391

Poursuivant son examen de la situation des droits humains dans des pays spécifiques, la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, s’est intéressée aujourd’hui aux cas de l’Éthiopie, de l’Érythrée, du Burundi, du Bélarus, de la Fédération de Russie et de l’Ukraine

CS/15464

Après le rejet, la semaine dernière, de deux projets de résolution visant à répondre à la crise à Gaza, le Conseil de sécurité a, cet après-midi encore, échoué à adopter deux textes concurrents, l’un présenté par les États-Unis, l’autre par la Fédération de Russie, à l’issue de votes qui ont donné lieu à des clivages manifestes, l’Équateur regrettant que l’organe chargé du maintien de la paix et de la sécurité internationales se transforme en « arène où s’expriment les rivalités de ses membres ».

AG/DSI/3726

La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) s’est penchée aujourd’hui sur le mécanisme du désarmement, dont la paralysie, notamment celle de la Conférence du désarmement, a été déplorée par nombre de délégations.  Si certains l’ont imputée à des méthodes de fonctionnement dépassées ou dévoyées, d’autres ont surtout mis l’accent sur un manque de volonté politique, ou encore à la vision que certains États ont de leur sécurité et des moyens de l’assurer.