Au lancement, le 19 août dernier, du troisième cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les délégations avaient grand espoir d’arriver à quai au 30 août, mais l’avant-dernière journée des délibérations a laissé transparaître des divergences notables entre les différentes parties.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
Alors que l’on assiste à une nouvelle escalade de la violence dans le nord-ouest de la Syrie, synonyme de lourd bilan humanitaire, l’Envoyé spécial du Secrétaire général a laissé entendre, aujourd’hui, devant le Conseil de sécurité, que la convocation d’un comité constitutionnel « crédible, équilibré et inclusif », première étape d’un processus politique plus large, pourrait intervenir dans les prochaines semaines, à la faveur des avancées dans les négociations intrasyriennes en cours à Genève
Le Conseil de sécurité a adopté, aujourd’hui à l’unanimité, la résolution 2484 (2019) pour reconduire jusqu’au 31 août 2020 le régime de sanctions concernant le Mali, sans le modifier, et proroger jusqu’au 30 septembre 2020 le mandat du Groupe d’experts créé en application de la résolution 2374 (2017).
Le Conseil de sécurité a décidé aujourd’hui de proroger d’un an, jusqu’au 31 août 2019, le mandat de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), « dont le déploiement aux côtés de l’Armée libanaise a contribué à créer un nouvel environnement stratégique dans le sud du Liban »
À deux jours de la clôture du troisième cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les discussions ont porté sur des sujets divers, allant des activités que les États seront autorisés à mener concernant les ressources génétiques marines, à la définition même de ces ressources, en passant par les relations entre le futur accord et les instruments existants, ainsi que ses modalités de mise en œuvre.
Deux mois après sa visite « historique » en Iraq, où il a célébré la liberté et la souveraineté recouvrées, consécutivement à la défaite militaire de Daech, le Conseil de sécurité a entendu ce matin la Représentante spéciale du Secrétaire général parler d’un pays aux « défis énormes qui ne sont pas nés en une nuit et qui ne sont pas le seul fait de ses actions ».
« Levez la tête de vos textes et demandez-vous pourquoi nous sommes là », a déclaré, ce matin, la représentante de Greenpeace, s’exprimant au nom des 40 membres de l’Alliance de la haute mer, au cours d’une matinée marquée par les discussions sur l’article 17 de l’avant-projet d’accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
Les Chefs du Bureau de lutte contre le terrorisme (BLT) et de la Direction exécutive du Comité contre le terrorisme (DECT) ont présenté aujourd’hui au Conseil de sécurité leur neuvième rapport sur la menace que représente l’État islamique de l’Iraq et du Levant (Daech) pour la paix et la sécurité internationales.
Dans un contexte marqué par la récente multiplication des incidents violents entre Israéliens et Palestiniens, en Cisjordanie mais aussi à Gaza, le Coordonnateur des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient s’est livré, aujourd’hui, devant le Conseil de sécurité, à un plaidoyer en faveur de « mesures concrètes » susceptibles d’inverser cette tendance négative, faute de quoi, a-t-il averti, un « cocktail explosif » risque d’embraser la région.
À l’entame de la deuxième semaine du troisième cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les débats se sont poursuivis sur le sujet épineux des modalités du transfert des techniques marines aux pays en développement et du renforcement des capacités de ces derniers.