« Levez la tête de vos textes et demandez-vous pourquoi nous sommes là », a déclaré, ce matin, la représentante de Greenpeace, s’exprimant au nom des 40 membres de l’Alliance de la haute mer, au cours d’une matinée marquée par les discussions sur l’article 17 de l’avant-projet d’accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
Aujourd’hui au Conseil de sécurité, le Secrétaire général adjoint aux opérations de paix a estimé que le fait que le peuple soudanais ait choisi un processus de prise de décisions plus inclusif est une occasion de mettre définitivement fin au conflit au Darfour.
À l’entame de la deuxième semaine du troisième cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les débats se sont poursuivis sur le sujet épineux des modalités du transfert des techniques marines aux pays en développement et du renforcement des capacités de ces derniers.
Les délégations qui prennent part à la troisième session de la Conférence intergouvernementale sur la biodiversité marine ont progressé aujourd’hui sur les négociations du futur « instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale ».
Au quatrième jour du nouveau cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les débats ont été animés, ce matin, par le Groupe de travail officieux sur les études d’impact sur l’environnement, lesquelles constituent l’un des principaux volets du futur accord.
Quelques jours après l’annonce du premier test américain de missile de portée intermédiaire depuis la fin de la guerre froide, la Fédération de Russie et les États-Unis se sont rejetés l’un sur l’autre, cet après-midi, devant le Conseil de sécurité, la faute de l’extinction du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire, au milieu d’appels à la reprise du dialogue afin d’éviter une nouvelle course à l’armement nucléaire.
Pour sa première intervention devant le Conseil de sécurité, le nouveau Représentant spécial du Secrétaire général pour la Somalie a averti, ce matin, que « la fenêtre est de plus en plus étroite » pour permettre le succès des réformes et des processus électoraux en cours dans le pays, lesquels dépendent en grande partie de la reprise du dialogue et de la coopération entre le Gouvernement et les États fédérés.
De nombreuses propositions ont marqué les discussions de ce matin, au sein du Groupe de travail officieux sur « les mesures telles que les outils de gestion par zone, y compris les aires marines protégées », alors que la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale entamait le troisième jour de son avant-dernière session de négociation.
Lors d’un débat du Conseil de sécurité sur les menaces à la paix et à la sécurité au Moyen-Orient, l’évolution récente de la situation dans le Golfe persique, sur fond de délitement de l’accord sur le nucléaire iranien, a cristallisé les échanges d’une trentaine de délégations, la Fédération de Russie allant jusqu’à appeler les États-Unis et la République islamique d’Iran à la retenue et à un règlement diplomatique de leur différend.
Le Conseil de sécurité a réaffirmé, cet après-midi, l’importance fondamentale des Conventions de Genève pour la protection des personnes touchées par les conflits armés.