À l’entame de sa seconde semaine de travaux, la Commission du développement social du Conseil économique et social (ECOSOC) a entendu une quarantaine de délégations dans le cadre de sa discussion générale, dont certaines ont appelé à davantage de mesures d’inclusion pour faire reculer la faim et la pauvreté, y compris en impliquant davantage les jeunes, les femmes et les groupes vulnérables.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
La Commission du développement social a clos la première semaine de sa soixantième session cet après-midi en entendant les délégations faire le point sur les mesures prises à l’échelon national pour atténuer la faim et la pauvreté exacerbées par la pandémie de COVID-19 et convenir que l’éradication de la pauvreté ne pourra être atteinte sans s’attaquer aux menaces qui pèsent sur la sécurité alimentaire.
Au quatrième jour de sa session 2022, la Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, sa réflexion sur les moyens de faire reculer la faim et la pauvreté dans le cadre d’une reprise post-COVID-19 inclusive et résiliente en entendant les participants à un forum multipartite centré sur ce thème prioritaire plaider en faveur d’investissements dans l’agriculture durable et la création d’emplois décents, tout particulièrement dans les zones rurales.
À mesure que les pays sortent de la pandémie de COVID-19, l’élaboration de stratégies de relance est l’occasion de commencer à reconstruire en mieux pour surmonter les obstacles à la mise en œuvre du Programme 2030 dans son intégralité, ont convenu en substance aujourd’hui les panélistes qui sont intervenus dans le cadre de deux tables rondes virtuelles organisées par la Commission du développement social. Elles ont permis de passer en revue les politiques nationales et mesures adoptées pour combattre la faim et la pauvreté dans l’optique de mettre intégralement en œuvre le Programme 2030 selon le calendrier prévu*.
Le Secrétaire général adjoint au Bureau des Nations Unies contre le terrorisme, M. Vladimir Voronkov, a demandé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, l’accélération des rapatriements des combattants terroristes étrangers et de leurs familles détenus en Syrie et en Iraq.
La poursuite des travaux de la Commission du développement social a été l’occasion, aujourd’hui, pour nombre d’États Membres, de vanter les mérites des systèmes de protection sociale pour amortir les effets de la pandémie et préparer un relèvement post-COVID-19 inclusif et résilient.
Le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien a renouvelé, cet après-midi, sa confiance à M. Cheikh Niang, du Sénégal, réélu à l’unanimité à la présidence du Comité pour un mandat d’un an, lors d’une séance au cours de laquelle le Secrétaire général a appelé de toute urgence à intensifier les efforts collectifs pour mettre fin à l’occupation et à ne pas perdre de vue l’objectif de parvenir à une solution des deux États, avec une État palestinien démocratique et indépendant.
Éliminer la pauvreté et la faim sous toutes leurs formes aux fins de la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030, en assurant un « relèvement inclusif et résilient après la COVID-19 pour garantir à chaque personne des moyens de subsistance, le bien-être et la dignité ». Avec ce thème prioritaire comme fil rouge de ses travaux, la Commission du développement social a ouvert, aujourd’hui, sa soixantième session, qui se déroulera en mode hybride jusqu’au 16 février prochain, date à laquelle seront adoptées les recommandations de cet organe subsidiaire du Conseil économique et social (ECOSOC).
À l’initiative de la Fédération de Russie, qui préside ce mois de février le Conseil de sécurité, les questions relatives aux sanctions onusiennes ont été examinées ce matin sous l’angle de leurs effets indésirables, en se basant non seulement sur les 14 régimes actuellement en vigueur, mais aussi sur les progrès entrepris pour les améliorer.
Pour sa seconde journée de débats consacrée à la coordination, le Conseil économique et social (ECOSOC) a continué de mettre l’accent sur les moyens d’assurer le relèvement postpandémie tout en accélérant la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030, les progrès à cet égard ayant été ralentis par les efforts considérables déployés au niveau international pour lutter contre la COVID-19.