La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a achevé cet après-midi les travaux de sa soixante-douzième session, marquée par des échanges parfois vifs entre délégations sur des sujets controversés, comme l’a fait remarquer en clôture son Président, M. Einar Gunnarsson (Islande).
En cours au Siège de l'ONU
Troisième Commission
À la veille de la clôture de ses travaux, la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a adopté aujourd’hui 14 nouveaux projets de résolution, dont trois ont nécessité une mise aux voix. Divisées come toujours sur le droit du peuple palestinien à l’autodétermination, le principe d’un appel mondial à l’action contre le racisme dans la ligne de la Conférence de Durban et les effets de la mondialisation sur les droits de l’homme, les délégations ont de nouveau exposé leurs divergences concernant le rôle des parents et des tuteurs dans l’éducation des enfants et les références à la Cour pénale internationale.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a adopté ce matin 11 nouveaux projets de résolution, dont un seul a nécessité une mise aux voix. Des divergences de vues sont toutefois apparues sur plusieurs textes, illustrées parfois par des propositions d’amendements rejetées par des votes. Ces divergences ont porté sur des questions d’ordre social, notamment sur le droit à l’eau potable et à l’assainissement, la jeunesse et la famille.
Le climat n’était pas consensuel, aujourd’hui, à la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, qui devait se prononcer sur divers projets de résolution au titre de divers points de son ordre du jour, notamment la promotion et protection des droits de l’homme, les rapports du Conseil des droits de l’homme et du Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, le droit des peuples à l’autodétermination et l’élimination du racisme, de la discrimination raciale, de la xénophobie et de l’intolérance qui y est associée. Les débats ont été parfois vifs, à l’image de celui qui a porté sur le projet intitulé « Lutte contre la glorification du nazisme, du néonazisme et d’autres pratiques qui contribuent à alimenter les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée ».
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, s’est prononcée aujourd’hui sur des projets de résolution portant sur la situation des droits de l’homme dans certains pays spécifiques. Le sujet a été l’occasion pour nombre de délégations de dénoncer une nouvelle fois la sélectivité de ce processus.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a continué aujourd’hui à se prononcer sur des projets de résolutions, adoptant sans vote cinq des six textes dont elle était saisie, qui portaient sur la promotion et protection des droits de l’homme, le développement social, la promotion de la femme et le Rapport du Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a commencé, aujourd’hui, à se prononcer sur des projets de résolution, adoptant sans vote les six textes dont elle était saisie, dont quatre portant sur le thème de la prévention du crime et justice pénale.
« Le monde est politisé, c’est l’évidence et on ne peut pas l’éviter »: c’est par ces mots que le Président du Conseil des droits de l’homme, M. Joaquin Alexander Maza Martelli, a répondu aujourd’hui aux délégations qui critiquaient la « politisation » de cet organe, à l’occasion de l’examen par la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, de son rapport.
Avec plus de 66 millions de personnes forcées de se déplacer dans le monde, dont plus de deux millions rien que depuis le début de l’année, le déplacement forcé de population est devenu un phénomène mondial qui n’épargne aucun continent, a expliqué aujourd’hui, dans un tableau sombre mais réaliste, le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, M. Filippo Grandi, venu présenter le rapport d’activité de son agence à la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a entamé aujourd’hui l’examen de l’élimination du racisme, de la discrimination raciale, de la xénophobie et de l’intolérance qui y est associée d’une part, du droit des peuples à l’autodétermination, d’autre part. Les délégations ont dialogué avec divers experts, lesquels ont fait état d’une situation alarmante tant pour les groupes les plus vulnérables, au premier rang desquels les migrants, que pour les personnes d’ascendance africaine, trop souvent laissées-pour-compte. La Commission a ensuite entamé son débat général sur la question.