La Troisième Commission a poursuivi, aujourd’hui, l’examen de son point consacré à la promotion et à la protection des droits de l’homme en dialoguant, parfois de manière houleuse, avec plusieurs titulaires de procédures spéciales et experts indépendants sur des questions liées à la participation et à l’autonomisation des individus et des peuples, à commencer par le droit au développement.
En cours au Siège de l'ONU
Troisième Commission
Dans de le cadre de son examen de la protection et la promotion des droits de l'homme, la Troisième Commission a dialogué aujourd’hui avec le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, M. Zeid Ra’ad Al Hussein, qui a présenté un vaste panorama des activités de ses services, tout en annonçant que c’était sans doute la dernière fois qu’il se présentait devant la Commission.
La Troisième Commission a entamé ce vendredi l’examen de son point consacré à la promotion et protection des droits de l’homme, occasion pour les délégations de discuter des méthodes de travail des différents organes de traités mais aussi d’aborder un sujet aussi sensible que la torture, qui a mis en lumière des désaccords entre États pourtant parties à la Convention qui vise à l’éliminer.
Dix ans après l’adoption de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, des signes positifs se font jour, cet instrument faisant de plus en plus office de norme au plan international. Pourtant, certains États rechignent encore à reconnaître les peuples autochtones en tant que tels. C’est le constat dressé aujourd’hui par la Rapporteuse spéciale sur cette question, Mme Victoria Tauli-Corpuz devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a achevé aujourd’hui son débat consacré aux droits de l’enfant. Si les quelque 55 délégations qui ont pris la parole sont revenues sur les violences à l’égard des enfants, il a aussi beaucoup été question aujourd’hui du droit à l’éducation, y compris dans les situations d’urgence, notamment pour les enfants réfugiés ou migrants.
La deuxième journée que la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a consacrée aujourd’hui aux droits de l’enfant a été dominée par la présentation d’un rapport conjoint des Rapporteuses spéciales en charge de deux des principaux fléaux auxquels sont confrontés les enfants dans le monde: la vente et l’exploitation sexuelle d’une part, la traite des êtres humains d’autre part. À cette occasion, le sort des enfants migrants, très vulnérables, a été largement évoqué.
Des progrès importants ont été accomplis dans la réalisation des droits de l’enfant mais des défis importants persistent pour réaliser les objectifs de développement durable qui les concernent : c’est le constat fait aujourd’hui devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, par le Directeur exécutif adjoint de l’UNICEF, Justin Forsyth, ainsi que les deux Représentantes spéciales du Secrétaire général venues présenter une série de rapports sur cette question.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a poursuivi aujourd’hui son examen de la question de la promotion de la femme. Au cours des discussions, les violences faites aux femmes sont revenues à de multiples reprises, notamment dans le cadre des migrations ou des zones de conflit, où la violence est encore plus exacerbée.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a entamé aujourd’hui l’examen de la question de la promotion de la femme. Au cours des discussions, il est vite apparu qu’en dépit de l’engagement des États, des instruments existants et d’avancées réelles, beaucoup restait encore à faire, compte tenu des défis identifiés.
La Troisième Commission en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles a débattu, aujourd’hui, du contrôle des drogues, de la prévention du crime et de la justice pénale. Derrière un volontarisme affiché, illustré par les bilans présentés, perçaient néanmoins parfois une forme de découragement face aux résultats, et beaucoup de craintes concernant la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030.