En cours au Siège de l'ONU

Conseil de sécurité


SC/14312

La crise planétaire liée à la pandémie de COVID-19 met non seulement gravement à l’épreuve la coopération internationale, elle met aussi en évidence les « carences incontestables » du système multilatéral, a affirmé ce matin le Secrétaire général de l’ONU devant le Conseil de sécurité à l’occasion d’un débat au sommet organisé par la présidence nigérienne sur le thème « Maintien de la paix et de la sécurité internationales: gouvernance mondiale post-COVID-19 ». 

SC/14309

Lors de la réunion mensuelle du Conseil de sécurité consacrée au processus politique en Syrie, tenue une nouvelle voie sous forme de visioconférence pour cause de COVID-19, l’Envoyé spécial pour la Syrie a voulu, ce matin, voir dans la tenue, fin août, de la troisième session de la Commission constitutionnelle syrienne -après neuf mois d’interruption- une « lueur d’espoir ». 

SC/14311

Répondant favorablement à une demande du Gouvernement iraquien*, le Conseil de sécurité a décidé, ce matin, à l’unanimité de ses 15 membres, de proroger jusqu’au 18 septembre 2021 le mandat du Conseiller spécial et de l’Équipe d’enquêteurs chargés de recueillir des éléments de preuve concernant des actes susceptibles de constituer des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité ou des crimes de génocide commis par l’EIIL (Daech) sur le territoire iraquien, conformément à sa résolution 2379 (2017).

SC/14308

À l’occasion d’un débat public, mais toujours réalisé en visioconférence pour cause de COVID-19, consacré à la mise en œuvre de la résolution 2417 (2018) sur la relation entre les conflits armés et la violence et l’insécurité alimentaire, plusieurs hauts responsables des Nations Unies sont venus, cet après-midi, tirer la sonnette d’alarme devant le Conseil de sécurité face à l’aggravation de la situation alimentaire dans les zones de conflit, du fait de la pandémie. 

SC/14306

Le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d’urgence, M. Mark Lowcock, a indiqué devant le Conseil de sécurité, à l’occasion de la séance mensuelle sur la situation humanitaire en Syrie, que l’ONU devrait avoir les capacités suffisantes pour gérer, au point de passage de Bab el-Haoua, les flux d’aide transfrontalière vers le Nord-Ouest syrien qui ont augmenté depuis la fermeture du point de passage de Bab el-Salam.
 

SC/14305

Le Conseil de sécurité, réuni ce matin en visioconférence sous la présidence du Niger, a examiné la situation au Soudan du Sud où la confluence de violences intercommunautaires persistantes, de la pandémie et des inondations saisonnières au cours d’une deuxième année consécutive dans certaines régions a exacerbé une situation humanitaire déjà déplorable.