Alors que la coopération entre l’ONU, l’Union africaine (UA) et les organisations régionales et sous-régionales africaines n’a « jamais été aussi forte » selon le Secrétaire général, il faut s’attaquer aux « contradictions » du Conseil de sécurité, lesquelles entravent parfois la résolution des conflits sur le continent, a souligné de son côté le Président de la Commission de l’UA.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Le Conseil de sécurité a adopté, ce matin, une déclaration présidentielle* sur le Burundi dans laquelle il prend note de l’amélioration des conditions de sécurité dans le pays et des mesures prises pour lutter contre l’impunité ainsi que des progrès réalisés concernant certains aspects de l’égalité des genres et de l’autonomisation des femmes.
Le Conseil de sécurité a adopté, aujourd’hui, à l’unanimité de ses membres, sa résolution 2553 (2020) dans laquelle il expose les grands axes de sa vision de la réforme du secteur de la sécurité (RSS), en plaidant pour une appropriation nationale et une participation accrue des femmes, tout en invitant l’ONU à adopter une approche « globale, intégrée et cohérente ».
Le 1er décembre 2020, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1970 (2011) concernant la Libye a décidé, conformément à l’alinéa a) du paragraphe 16 de la résolution 1970 (2011), d’accorder une dérogation à l’interdiction de voyager pour raison humanitaire, du 1er décembre 2020 au 31 mai 2021, aux trois personnes suivantes:
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de décembre, M. Jerry Matthews Matjila (Afrique du Sud):
Alors que l’Afrique du Sud quittera, à la fin du mois, le Conseil de sécurité, où elle a siégé deux ans, son Représentant permanent auprès des Nations Unies a annoncé à la mi-journée que l’organe chargé du maintien de la paix et de la sécurité internationales sera particulièrement actif en décembre.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de décembre, M. Jerry Matthews Matjila (Afrique du Sud):
Ce matin, la séance mensuelle du Conseil de sécurité sur les volets politique et humanitaire de la crise syrienne a été, une nouvelle fois, l’occasion pour ses membres d’afficher leurs divergences de vue sur ces deux dossiers, en particulier s’agissant d’établir les responsabilités de la stagnation du processus constitutionnel en Syrie et de la détérioration des conditions de vie de la population civile, après presque 10 ans de guerre.
Ce matin, devant le Conseil de sécurité réuni en visioconférence, la Représentante spéciale du Secrétaire général et Chef de la Mission d’assistance des Nations Unies pour l’Iraq (MANUI) a exhorté le Gouvernement iraquien à prendre des mesures d’urgence pour gérer la crise économique et financière, aggravée par la pandémie de COVID-19 et la baisse du cours du pétrole.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par la Présidente du Conseil de sécurité pour le mois de novembre, Mme Inga Rhonda King (Saint-Vincent-et-les Grenadines):