Le débat général sur le développement social s’est poursuivi aujourd’hui à la Troisième Commission (Questions sociales, humanitaires et culturelles) avec la participation de plus d’une cinquantaine de délégations qui ont mesuré les défis qu’il leur faut relever, notamment pour promouvoir l’intégration sociale de tous. À cet égard, l’élimination de la pauvreté fait partie des objectifs de développement durable qui succèdent aux Objectifs du Millénaire pour le développement pour les 15 prochaines années.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
Elle examinera, dès le 8 octobre, les questions de décolonisation liées aux 16 territoires non autonomes.
À l’ouverture du débat général de la Deuxième Commission, ce matin, le Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, M. Wu Hongbo, a rappelé que le Programme de développement durable à l’horizon 2030 qui vient d’être adopté, le 25 septembre 2015, s’inscrit dans la continuité des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). Mais c’est aussi « le début d’une nouvelle ère », a-t-il dit en espérant, comme la trentaine de délégations qui ont pris la parole, une véritable transformation au cours des 15 prochaines années.
La Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale, a adopté ce matin une partie de son programme de travail pour la soixante-dixième session de l’Assemblée générale.
S’exprimant pour la dernière fois en sa qualité de Représentant spécial pour la République démocratique du Congo (RDC), M. Martin Kobler a plaidé, aujourd’hui devant le Conseil de sécurité pour un retrait progressif, « non précipité », de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en RDC (MONUSCO). « Je ne peux pas dire avec certitude si les progrès enregistrés sont durables et si le spectre de la violence ne pourra pas ressurgir et annuler ce qui a été accompli jusqu’à présent », a expliqué M. Kobler, qui est également le Chef de la Mission.
Le Programme de développement durable à l’horizon 2030, adopté il y a quelques jours par l’Assemblée générale, est « un document historique, ambitieux, large et universel » pour relever les défis du développement social, a déclaré aujourd’hui, le Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, M. Wu Hongbo, à l’ouverture des travaux de la Troisième Commission de l’Assemblée générale, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles.
« Le chemin vers la paix au Mali sera jonché d’obstacles », avait prévenu le Représentant spécial du Secrétaire général pour ce pays lors de son précédent exposé devant le Conseil de sécurité. « Il l’est, en effet. Les difficultés rencontrées ont été plus importantes et ont surgi plus tôt que prévu », a confirmé aujourd’hui M. Mongi Hamdi devant les 15 membres de l’organe chargé du maintien de la paix et de la sécurité internationales.
« Le 30 septembre, le drapeau de l’État de Palestine a été hissé pour la première fois au Siège de l’ONU, ici à New York.
La situation en Syrie et l’ampleur inédite des migrations qu’elle suscite, en conjonction avec les autres crises au Moyen-Orient ou en Afrique, ont dominé les six jours de débat général de la soixante-dixième session de l’Assemblée générale, cette semaine à New York.
À la veille de la clôture de son débat général annuel, l’Assemblée générale a entendu, aujourd’hui, plus d’une trentaine d’orateurs dont le Président du Burkina Faso, M. Michel Kafando, et le Ministre syrien des affaires étrangères, M. Walid al-Moualem. Ce dernier a annoncé que son pays acceptait le principe de discussions « non contraignantes » de paix sous l’égide de l’ONU.