« Il est clair que toutes les parties doivent, de toute urgence, changer de cap », a plaidé ce matin, devant le Conseil de sécurité, le Coordonnateur spécial des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient, M. Tor Wennesland, en soulignant le besoin d’horizon politique pour les Palestiniens et les Israéliens après les horreurs de ces sept derniers mois.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
L’avant-dernier jour de la quatrième Conférence internationale sur les petits États insulaires en développement (PEID) a vu aujourd’hui défiler à la tribune États Membres, organisations de la société civile et organismes onusiens qui ont été majoritaires à réclamer une percée dans le financement du développement afin de placer ces pays sur la voie d’une « résilience partagée ».
Le deuxième jour de travaux de la quatrième Conférence internationale sur les petits États insulaires en développement a été marquée par l’intervention de la Première Ministre de la Barbade, figure de proue du financement climatique et de la justice économique des PEID.
Plusieurs points sont à l’ordre du jour de la première journée de la reprise de session du Comité chargé des organisations non gouvernementales, organe subsidiaire du Conseil économique et social (ECOSOC), dont l’examen de ses méthodes de travail.
À l’initiative du Mozambique, qui préside ses travaux ce mois-ci, le Conseil de sécurité a organisé aujourd’hui un débat sur le rôle des femmes et des jeunes dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales. Cet événement a été l’occasion d’examiner les synergies entre le programme pour les femmes et la paix et la sécurité, d’une part, et le programme relatif aux jeunes et à la paix et à la sécurité, d’autre part, et de réfléchir au rôle du Conseil pour assurer la participation effective des femmes et des jeunes, notamment dans les mandats des missions de l’ONU, à l’approche du Sommet de l’avenir.
La quatrième Conférence internationale sur les petits États insulaires en développement (PEID) s’est ouverte aujourd’hui à Saint John’s, la capitale d’Antigua-et-Barbuda, en présence d’une vingtaine de chefs d’État, de 75 ministres et de plusieurs hauts fonctionnaires de l’ONU, dont le Secrétaire général.
Par 14 voix pour et une abstention, celle de la Fédération de Russie, le Conseil de sécurité a fait sienne, ce matin, une résolution qui, comme l’a résumé la Suisse -à l’origine du texte- vise à « renforcer la protection de celles et ceux qui protègent » les civils en période de conflit armé, à savoir le personnel humanitaire, le personnel de l’ONU et le personnel associé, y compris les employés recrutés sur les plans national et local.
Le Conseil s’est dit vivement préoccupé, ce matin, par l’intensification des violences intercommunautaires au centre du Sahel, exprimant son inquiétude face à la montée des tensions et des conflits entre agriculteurs et éleveurs dans la région.
Le Comité de l’information a, ce matin, clôturé les travaux de sa quarante-sixième session en adoptant par consensus ses deux projets de résolution annuels, dont son texte phare sur les politiques et activités de l’ONU en matière de communication globale, dans lequel l’intelligence artificielle est désormais clairement mentionnée avec les risques et opportunités qu’elle présente.
De nombreuses réserves ont marqué, ce matin, la décision de l’Assemblée générale de proclamer le 11 juillet « Journée internationale de réflexion et de commémoration du génocide commis à Srebrenica en 1995 », suite à l’adoption par 84 voix pour, soit moins de la moitié des États Membres, 19 voix contre et 68 abstentions, d’une résolution présentée par l’Allemagne.