La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a poursuivi aujourd’hui sa discussion générale sur la promotion et la protection des droits de l’enfant. Ce sujet, a priori consensuel, a été traité essentiellement sous l’angle des réalisations nationales, qu’elles soient législatives, juridiques ou programmatiques.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
L’Assemblée générale a évalué, ce matin, les progrès accomplis dans la réalisation du développement durable en Afrique, dans le cadre du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique et l’Agenda 2063 de l’Union africaine (UA).
La Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a achevé cet après-midi son audition des pétitionnaires concernant la question du Sahara occidental sur de nouveaux appels à résoudre le statut de ce dernier territoire non autonome sur le continent africain.
Entamant aujourd’hui l’examen des droits des enfants, la Troisième Commission, en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles, a dialogué avec cinq intervenants, dont la Présidente du Comité des droits de l’enfant, qui a indiqué que le nombre d’enfants victimes des six graves violations des droits humains vérifiées par les Nations Unies avait augmenté de façon exponentielle en raison de l’escalade des conflits, en particulier à Gaza, au Soudan et au Myanmar. À elle seule, la guerre à Gaza a coûté la vie à 17 000 d’entre eux, a rappelé la Mauritanie au nom du Groupe arabe.
Le conflit au Liban, associé à la situation en Syrie et à la violence à Gaza et en Cisjordanie, montre une région qui glisse dangereusement vers une guerre totale, a prévenu la Secrétaire générale adjointe aux affaires politique et à la consolidation de la paix, cet après-midi, devant le Conseil de sécurité.
À l’ouverture, en début de semaine, de la session de la Deuxième Commission (questions économiques et financières), le professeur d’économie Jeffrey Sachs avait observé que les pays en développement devraient atteindre des taux de croissance phénoménaux –de l’ordre de 7 à 10%- pour réaliser le Programme 2030. Force est de constater que le niveau de stimulation et d’investissement nécessaire à une telle croissance est « difficilement mobilisable ».
La Sixième Commission (juridique) poursuit aujourd’hui son débat, entamé hier après-midi, sur les crimes contre l’humanité.
Renoncer à la « mentalité de guerre froide », universaliser le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), créer au Moyen-Orient une zone exempte d’armes nucléaires et autres armes de destruction massive, mieux coopérer pour lutter contre le trafic d’armes légères et de petit calibre: en ce quatrième jour du débat général de la Première Commission (chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale), les 22 délégations qui se sont exprimées ont exploré les moyens à privilégier pour atténuer les tensions et pacifier à terme un environnement sécuritaire ébranlé par les conflits au Moyen-Orient et en Ukraine.
Cet après-midi, la Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a poursuivi l’audition de pétitionnaires concernant la question du Sahara occidental, un point au titre duquel pas moins de 157 d’entre eux ont demandé à être entendus cette année.
À la demande de l’Algérie et de la Slovénie, appuyées par la France, le Conseil de sécurité s’est réuni cet après-midi pour examiner la situation humanitaire tragique à Gaza, enclave « fantôme », un « champ de ruines », un « enfer sur terre », où la faim s’étend.