À l’instar des autres grandes commissions de l’Assemblée générale de l’ONU, la Sixième Commission chargée des questions juridiques a entamé, ce matin, ses travaux sous la contrainte inédite de la pandémie COVID-19, dans le respect d’un strict protocole sanitaire pour les délégués sur place et avec une réduction significative du temps de réunion lors de cette session, soit trois à quatre réunions « en présentiel » par semaine.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Réunis en personne dans la vaste salle de l’Assemblée générale, mais à bonne distance les uns des autres, les membres de la Troisième Commission en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles ont entamé, aujourd’hui, les travaux de leur soixante-quinzième session en alertant, à l’occasion du débat général, sur les effets de la pandémie de COVID-19 sur les droits de l’homme et les libertés fondamentales, notamment ceux des groupes les plus vulnérables, mais aussi sur le développement des pays les moins avancés.
Une pandémie entraînant un « maëlstrom » de crises, « mettant à nu » les vulnérabilités. Cette formule a été prononcée en ce premier jour de débat général de la Deuxième Commission de l’Assemblée générale, chargée des questions économiques et financières, par le représentant de la Communauté des Caraïbes (CARICOM). Elle ne résume que trop bien les difficultés économiques et sociales auxquelles les États Membres se disent aujourd’hui confrontés.
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a entamé ses travaux, cet après-midi, avec en toile de fond l’examen du projet de budget-programme de l’exercice 2021, et les problèmes liés à la pandémie de COVID-19.
« Le monde continue de vivre dans l’ombre d’une catastrophe nucléaire », a déclaré avec gravité, ce matin, M. António Guterres, lors de l’ouverture de la Réunion de haut niveau célébrant la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires.
Lors d’une réunion d’organisation tenue par visioconférence, du fait des circonstances exceptionnelles actuelles, la Deuxième Commission (questions économiques et financières) a approuvé, ce matin, l’ordre du jour et l’organisation des travaux* de sa soixante-quinzième session, qui débutera lundi 5 octobre par le débat général et se terminera au plus tard le 25 novembre.
C’est un « recul mondial » de l’égalité des sexes et des droits des femmes qui a été constaté aujourd’hui à la Réunion de haut niveau qu’a organisée l’Assemblée générale pour le vingt-cinquième anniversaire de la quatrième Conférence mondiale de Beijing sur les femmes.
Redresser les économies nationales meurtries par la COVID-19 tout en sauvegardant les écosystèmes abîmés par l’activité humaine.
« De nombreux dirigeants politiques ont reconnu que le multilatéralisme est le système le plus efficace pour s’attaquer aux défis mondiaux comme la pandémie ou les changements climatiques », s’est réjoui le Président de cette soixante-quinzième session de l’Assemblée générale, M. Volkan Bozkir, dans son discours de clôture du débat général.
La paralysie de la diplomatie en ces temps de pandémie de COVD-19 a continué de préoccuper les délégations au cinquième jour du grand rendez-vous qu’est le débat général de l’Assemblée générale, organisé virtuellement cette année.