Quatrième Commission


CPSD/741

Dans le cadre de son débat général conjoint, la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission) a, cet après-midi, entendu plusieurs États Membres évoquer les processus politiques en cours dans un certain nombre de territoires non autonomes, lesquels sont, aux termes du Chapitre XI de la Charte des Nations Unies, ceux « dont les populations ne s’administrent pas encore complètement elles-mêmes ».

CPSD/740

La Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission) a, cet après-midi entendu 22 délégations dans le cadre de son débat général conjoint, dont nombre d’entre elles se sont interrogées sur la manière d’améliorer à la fois les capacités et l’efficacité des opérations de maintien de la paix de l’ONU

 

CPSD/739

Cet après-midi, la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission) a poursuivi son débat général conjoint, au cours duquel a été entendue la première intervention d’une « Puissance administrante » de certains territoires non autonomes toujours inscrits sur la liste du Comité spécial de la décolonisation et de la Quatrième Commission.

CPSD/738

Au troisième jour de son débat général conjoint, la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission) a entendu, cet après-midi, près d’une trentaine d’intervenants, dont plusieurs ont plaidé pour un financement accru de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA).

 

CPSD/737

Au deuxième jour de son débat général conjoint, la Quatrième Commission (chargée des questions politiques spéciales et de décolonisation), a entendu de nombreux États Membres s’exprimer sur le manque d’avancement de certains processus de décolonisation et la problématique du multilinguisme dans les activités de l’ONU.

 

 

CPSD/736

Au premier jour de son débat général conjoint, la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission), a entendu des interventions mettant l’accent sur les processus de décolonisation de certains territoires non autonomes; la question palestinienne et l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA); la communication et l’information à l’ONU ou encore le maintien de la paix de l’ONU.

CPSD/735

Devant la Quatrième Commission (chargée des politiques spéciales et de décolonisation) aujourd’hui, trois hauts fonctionnaires de l’ONU ont dressé un bilan des opérations de maintien de la paix déployées par l’Organisation, dans lequel l’initiative A4P+ figurait en bonne place.  Lancée en 2018 par le Secrétaire général, Action pour le maintien de la paix a pour but de renouveler l’engagement politique en faveur de ces opérations, au travers d’un ensemble de principes et d’engagements mutuellement acceptés et de sa stratégie de mise en œuvre (+), adoptée, elle, en 2021.

 

 

CPSD/733

De plus en plus difficile, l’environnement opérationnel dans lequel les missions politiques spéciales de l’ONU sont déployées exigent d’elles une adaptation à cette évolution.  Telle a été l’analyse de la Secrétaire générale adjointe aux affaires politiques et à la consolidation de la paix, Mme Rosemary DiCarlo, venue présenter cet après-midi à la Quatrième Commission (chargée des politiques spéciales et de décolonisation) le dernier rapport en date du Secrétaire général sur la question des missions politiques spéciales.

CPSD/732

Au troisième et dernier jour des auditions de pétitionnaires à la Quatrième Commission, chargée des questions de politiques spéciales et de la décolonisation, c’est encore de l’avenir du Sahara occidental dont il était question.  Malgré les restrictions sanitaires imposées par la pandémie de COVID-19, ils ont été 66 à se déplacer à New York cette année pour s’exprimer sur le sujet, qui oppose toujours les partisans du Front POLISARIO à ceux du plan d’autonomie élargie pour les « provinces du Sud » proposé par le Maroc; les défenseurs du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui à ceux du développement économique et de la légitimité des urnes des représentants élus du « Sahara marocain ».