Le Conseil économique et social (ECOSOC) a achevé aujourd’hui son dialogue, entamé lundi, sur les activités opérationnelles de développement menées dans les pays par les fonds, programmes et agences des Nations Unies. « Il est clairement apparu qu’il faut avancer vers une nouvelle démarche intégrée à l’échelle du système », a constaté le Vice-Président de l’ECOSOC, M. Alejandro Palma Cerna en faisant le point sur les trois jours de débats.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil économique et social
Le Conseil économique et social (ECOSOC) a poursuivi aujourd’hui son dialogue, entamé hier, sur les activités opérationnelles de développement menées dans les pays par les fonds, programmes et agences des Nations Unies. Les intervenants ont reconnu que cette session sera déterminante pour le rôle du système de l’ONU dans la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030. « On a beau retourner le problème dans tous les sens, ce qu’il nous faut, c’est un système de développement de l’ONU qui marche », a tranché le représentant du Canada.
En cette première journée de débat sur les activités opérationnelles de développement, dans le cadre de la session de 2016 du Conseil économique et social (ECOSOC), des appels fermes ont été lancés pour que chaque acteur du développement soit ouvert à des approches différentes de celles du passé, fasse preuve de la volonté nécessaire pour opérer les changements indispensables et contribue activement à la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
Le Conseil économique et social (ECOSOC), reprenant sa session d’organisation, a décidé, ce matin, de tenir son débat consacré aux affaires humanitaires du lundi 27 au mercredi 29 juin 2016.
Le Comité chargé des organisations non gouvernementales a suspendu, ce matin, la première partie de sa session ordinaire de 2016 en recommandant l’octroi du statut consultatif spécial auprès du Conseil économique et social (ECOSOC) à 206 ONG.
La Commission du développement social a achevé, cet après-midi, sa cinquante-quatrième session, après deux semaines de travaux marqués par des appels de représentants d’États Membres, d’acteurs du secteur privé, de la société civile et du monde universitaire au Conseil économique et social (ECOSOC) afin qu’il fasse en sorte que « personne ne soit laissé de côté » dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
Aujourd’hui à la Commission du développement social, l’optimisme du Secrétaire général de l’ONU quant à la capacité du Programme de développement durable à l’horizon 2030 d’apaiser les frustrations d’un monde en proie aux inégalités et à l’exclusion n’a pas vraiment convaincu les jeunes qui ont continué de réclamer leur droit d’être entendus, écoutés et impliqués dans la création de « L’avenir que nous voulons ».
Qu’il s’agisse des personnes handicapées, du troisième âge ou des jeunes, la Commission du développement social a entendu aujourd’hui une multitude de propositions pour mettre véritablement le Programme de développement durable à l’horizon 2030 au service de ces groupes vulnérables.
Comment concrétiser les engagements pris dans le Programme de développement durable à l’horizon 2030, dans l’optique du développement social? C’est la question que la Commission du développement social, qui a entamé hier sa cinquante-quatrième session, a posé aux États et aux experts.
La Commission du développement social du Conseil économique et social (ECOSOC) a entamé, aujourd’hui, sa session annuelle, la cinquante-quatrième du genre.