Le 15/03/2023, les entrées ci-après de la Liste des personnes et entités relative aux sanctions contre l’EIIL (Daech) et Al-Qaida visées par le gel des avoirs, l’interdiction de voyager et l’embargo sur les armes prévus au paragraphe 1 de la résolution 2610 (2021) du Conseil de sécurité ont été modifiées à la suite de l’examen annuel de 2021 effectué en application des paragraphes 90 et 91 de la résolution 2610 (2021).
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Le Conseil de sécurité s’est penché, ce matin, sur la situation au Yémen, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour ce pays estimant que si beaucoup a été accompli au cours de l’année écoulée, « il est maintenant temps de passer à l’étape suivante ».
Le Conseil de sécurité s’est réuni ce matin, à la demande de la Fédération de Russie, sur le thème de la « russophobie », un facteur qui, selon elle, est au cœur de « l’idéologie ukrainienne » et complique les perspectives de trouver une solution durable au conflit en Ukraine.
Le 20 février 2023, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2140 (2014) a tenu des consultations afin d’examiner le rapport final que le Groupe d’experts lui a soumis en application du paragraphe 16 de la résolution 2624 (2022) (S/2023/130).
Le 9 mars 2023, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1518 (2003) a retiré les entrées ci-après de sa liste de personnes et d’entités visées par des sanctions.
En cette Journée internationale de la femme, il y a peu de messages de réconfort à adresser aux Afghanes, tant leurs conditions de vie se sont détériorées depuis le retour au pouvoir des Taliban, a déclaré, ce matin au Conseil de sécurité, la Représentante spéciale du Secrétaire général pour l’Afghanistan, « pays le plus répressif au monde en ce qui concerne les droits des femmes » et par ailleurs théâtre de la plus grave crise humanitaire en cours.
Agissant au titre du Chapitre VII de la Charte, le Conseil de sécurité a, aujourd’hui, décidé de « réaffirmer et reconduire » le régime de sanctions en vigueur au Soudan, mais en lui fixant pour la première fois une échéance -le 12 septembre 2024– avant laquelle il devra se prononcer sur leur renouvellement éventuel.
Les femmes continuent, à ce jour, d’être davantage touchées par les conflits armés dans le monde, et se trouvent encore exclues des décisions concernant la paix et la sécurité, malgré plusieurs résolutions chargées d’y remédier.
Au Soudan du Sud, alors que peu de progrès ont été accomplis dans la mise en œuvre de l’Accord de paix revitalisé au cours de la période à l’examen et que les délais fixés par la feuille de route n’ont pas été respectés, le Représentant spécial du Secrétaire général pour ce pays a estimé, ce matin au Conseil de sécurité, que 2023 serait l’année du « ça passe ou ça casse » pour toutes les parties prenantes.
Le Conseil de sécurité s’est penché de nouveau, cet après-midi, sur la question des armes chimiques en Syrie, une séance marquée une fois encore par la frustration de la majorité de ses membres devant le peu de coopération des autorités syriennes avec l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC), tandis que Fédération de Russie et Chine demeuraient silencieuses.