La Commission économique et financière (Deuxième Commission) a achevé cet après-midi, au cours d’une brève séance plénière, le débat qu’elle avait entamé hier sur le commerce international et le développement.
Après deux décennies d’une mondialisation qui a renforcé l’interdépendance entre les nations, les relations entre commerce international et développement revêtent désormais une dimension critique, alors que se multiplient les crises.
Les délégations de la Commission économique et financière (Deuxième Commission) ont de nouveau plaidé aujourd’hui pour une réforme des institutions financières internationales et du système des Nations Unies dans leur ensemble afin de les rendre capables de promouvoir le développement dans un contexte de mondialisation et d’interdépendance.
À l’occasion de son dialogue annuel avec les cinq commissions économiques et sociales régionales des Nations Unies, la Commission économique et financière (Deuxième Commission) a entendu ce matin leurs Secrétaires exécutifs présenter une perspective régionale concernant les conséquences des changements climatiques.
Plus d’un mois après la publication du rapport Goldstone, la question de l’occupation par Israël des territoires palestiniens était, pour la première fois cette année, au centre des débats de la Commission économique et financière (Deuxième Commission).
Pour le sixième des évènements spéciaux inscrits à l’ordre du jour de ses travaux, la Commission économique et financière (Deuxième Commission), s’est penchée ce matin, lors d’une table ronde à laquelle prenaient part cinq experts-panélistes, sur le thème de la croissance écologique et du développement durable.
Deux semaines avant la tenue à Rome du Sommet consacré à la sécurité alimentaire, organisé sous l’égide de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), de nombreuses délégations ont identifié la nécessité d’investir davantage dans le développement agricole comme une des principales solutions à apporter à ce problème.
C’est à l’examen de deux questions récemment inscrites à son ordre du jour que la Deuxième Commission (économique et financière) a aujourd’hui consacré ses travaux: la démarginalisation des pauvres par le droit, et la participation des femmes au développement. Les deux sujets ont fait l’objet d’un débat général conjoint auquel ont participé une trentaine de délégations.
Dans le cadre du point de son ordre du jour relatif à la mondialisation et à l’interdépendance, la Commission économique et financière (Deuxième Commission) a débattu aujourd’hui des questions liées à la prévention et à la lutte contre la corruption et au transfert des avoirs illicites, notamment aux pays d’origine, ainsi que de la question de la science et de la technique au service du développement.
C’est à la situation dans laquelle se trouvent les pays les moins avancés (PMA) et des pays en développement sans littoral que la Commission économique et financière (Deuxième Commission) a consacré aujourd’hui son attention, préoccupés que sont les États Membres par l’impact sévère qu’a eu la crise économique et financière sur ces deux catégories de pays déjà particulièrement défavorisées.