En cours au Siège de l'ONU

Couverture des réunions


CPSD/664

Le deuxième jour des auditions de pétitionnaires sur les 17 territoires non autonomes toujours inscrits à l’ordre du jour de la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation) a été l’occasion de témoigner de « l’aboutissement d’un processus de paix exemplaire » en Nouvelle-Calédonie, que représente, comme l’a décrit hier son Président, M. Philippe Germain, la tenue, le 4 novembre, du référendum sur l’autodétermination.

AG/DSI/3599

Rhétorique belliqueuse, montée des tensions, instabilité accrue: au troisième jour du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale), les délégués ont partagé une même inquiétude face à l’état actuel de la sécurité dans le monde et à l’absence de progrès pour faire avancer le désarmement, affichant toutefois des divergences marquées sur le meilleur moyen d’y parvenir, notamment pour ce qui est du nucléaire.

AG/J/3571

Les délégations des pays africains, emmenées par celle du Rwanda, ont, ce matin, devant la Sixième Commission (questions juridiques) critiqué en des termes très vifs l’application du principe de compétence universelle, jugée, tour à tour, « abusive », « politisée » et « manipulable », alors que d’autres délégations, en particulier occidentales, ont souligné son utilité dans la lutte contre l’impunité.  Poursuivant son débat sur la portée et l’application de ce principe, la Commission a entendu 30 orateurs. 

AG/DSI/3598

Dans un contexte international marqué par la détérioration de la situation sécuritaire, c’est la question du nucléaire qui a dominé les préoccupations des délégués qui participaient, aujourd’hui, au deuxième jour du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale).

AG/AB/4289

Après les interventions d’usage sur les questions d’organisation, la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaire est entrée directement aujourd’hui dans le vif du sujet avec la question épineuse de la refonte du calcul des quotes-parts au budget ordinaire de l’ONU et à celui des opérations de maintien de la paix.  Jugeant « non négociable » tout changement susceptible d’augmenter le montant de la contribution de ses membres, le Groupe des 77 et la Chine ont d’emblée accusé les pays développés de vouloir se défausser de leur responsabilité financière vis-à-vis de l’Organisation sur les pays en développement.