Ce sont exactement des crédits supplémentaires de 1 495 400 dollars que le Secrétaire général demande à la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, pour améliorer le fonctionnement de l’administration de la justice à l’ONU en 2019.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
Ce matin, les membres de la Sixième Commission (affaires juridiques) ont entamé leur examen biennal de l’état des Protocoles additionnels aux Conventions de Genève de 1949 relatifs à la protection des victimes des conflits armés en plaidant pour leur universalisation et leur application.
« Tant qu’il tient, l’accord sur Edleb offre une occasion unique de relancer le processus politique en Syrie », a déclaré devant le Conseil de sécurité, ce matin, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour la Syrie, M. Staffan de Mistura, venu l’informer des dernières avancées politiques en Syrie.
La Quatrième Commission a adopté, ce matin, la vaste majorité des projets de résolution relatifs à la décolonisation que lui avait soumis pour examen le Comité spécial des 24, dont deux textes portant respectivement sur le Sahara occidental et la Nouvelle-Calédonie.
Comment éliminer la pauvreté, dans un monde où le fossé entre pays riches et pauvres se creuse davantage? La Deuxième Commission (questions économiques et financières) a consacré cette journée à ce vaste sujet, « plus grand défi de l’humanité » pour de nombreuses délégations, et principal objectif du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a achevé, ce matin, son débat général pour ensuite entamer le début des discussions thématiques en après-midi. Mais la teneur des interventions a permis de se rendre compte que l’approche du désarmement était avant tout un problème global qui exige un mélange de coopération, de synergie et de prospection pour devenir une réalité.
Le Président du « Mécanisme international appelé à exercer les fonctions résiduelles des Tribunaux pénaux internationaux pour le Rwanda (TPIR) et pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) » a indiqué aujourd’hui que le successeur des deux Tribunaux fonctionne désormais comme une institution autonome, depuis la fermeture du TPIY, en décembre 2017.
Poursuivant son examen de la protection et la promotion des droits de l’homme sous tous ses aspects, la Troisième Commission s’est penchée aujourd’hui sur toute une palette de ces droits, abordés sous des angles variés: leur protection dans le contexte de la lutte contre le terrorisme, les effets négatifs qu’exercent les mesures coercitives unilatérales, l’indépendance des juges et des avocats, le droit au développement et la promotion d’un ordre international démocratique et équitable.
L’accès à une énergie propre, la désertification, l’épuisement des réserves en eau douce, la dégradation des terres et les menaces sur la diversité biologique ont été quelques-uns des sujets mis en avant, ce matin, à la Deuxième Commission (questions économiques et financières), qui a terminé son débat sur le développement durable.
Pour la première fois depuis 2013, le Conseil de sécurité a consacré, ce matin, une séance au rôle des ressources naturelles dans le déclenchement et la perpétuation des conflits, ou plus précisément au rôle joué, « aux dépens des citoyens locaux », par la « monopolisation » du contrôle, de l’exploitation et de l’accès à ces ressources « par des intérêts étrangers, des sociétés multinationales, des acteurs de premier plan et des groupes armés », selon les termes de la note de cadrage qu’a faite circuler la présidence bolivienne du Conseil auprès des autres membres.