Aujourd'hui, l'Instance permanente tiendra un dialogue thématique sur le financement des travaux et de la participation des peuples autochtones dans l’ensemble du système multilatéral et régional.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
La Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ) et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord a poursuivi aujourd’hui ses travaux.
À l’occasion de sa réunion d’information trimestrielle sur la Colombie, le Conseil de sécurité a entendu, ce matin, le Représentant spécial du Secrétaire général et Chef de la Mission de vérification des Nations Unies dans ce pays appeler une nouvelle fois à une accélération de la mise en œuvre de l’Accord final signé en 2016 par le Gouvernement colombien et les ex-Forces armées révolutionnaires de Colombie-Armée populaire (FARC-EP).
Aujourd’hui, l’Instance permanente sur les questions autochtones a commencé sa discussion sur le thème « L’application de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones dans les États Membres de l’ONU et le système des Nations Unies, y compris la détermination des bonnes pratiques et la résolution des difficultés ».
La Commission préparatoire doit poursuivre aujourd’hui ses travaux sur un éventail de questions, dont l’architecture du Centre d’échange créé par l’article 51 de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ).
L’insécurité s’est tellement aggravée en Haïti, où les gangs criminels lancent des attaques coordonnées pour prendre le contrôle du territoire, que la situation pourrait atteindre « un point de non-retour », a mis en garde, ce matin au Conseil de sécurité, la Représentante spéciale du Secrétaire général pour ce pays qui est en train de « mourir à petit feu », selon les mots de son Représentant permanent.
Lancés le 14 avril dernier, les travaux de la Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ) et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord ont repris aujourd’hui.
« Nous voulons prospérer sans complexe en tant que peuples autochtones. » C’est en ces termes que la Présidente élue par acclamation de la vingt-quatrième session de l’Instance permanente sur les questions autochtones a donné le coup d’envoi des travaux, qui dureront jusqu’au 2 mai, en en fixant les priorités alors que les progrès s’avèrent encore trop lents en ce qui concerne la mise en œuvre de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.
Deux mois après sa prise de fonction, la nouvelle Représentante spéciale du Secrétaire général pour la Libye et Cheffe de la Mission d’appui des Nations Unies dans ce pays (MANUL) a brossé, ce matin, un tableau de la situation sans concession devant le Conseil de sécurité. Alors que la Libye reste engluée dans une crise politique, économique, sécuritaire et humanitaire, elle a averti qu’un rétablissement de la stabilité ne pourra être envisagé sans une relance du processus politique et la formation d’un gouvernement unifié.
Le Groupe de travail III de la Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ) a réfléchi aujourd’hui au financement de la Conférence des Parties dès sa première réunion.