Ce communiqué conjoint a été publié aujourd'hui par le Gouvernement provisoire d’union nationale du Soudan du Sud et les membres du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations Unies:
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de septembre, M. Gerard van Bohemen (Nouvelle-Zélande):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de septembre, M. Gerard van Bohemen (Nouvelle-Zélande):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de septembre, M. Gerard van Bohemen (Nouvelle-Zélande):
La désignation du prochain Secrétaire général de l’ONU, la sécurité aérienne face aux actes terroristes, la Syrie et le Soudan du Sud seront au cœur du programme de travail du Conseil de sécurité pendant le mois de septembre, a déclaré, cet après-midi devant la presse, l’Ambassadeur Gerard van Bohemen, dont le pays, la Nouvelle-Zélande, assure à partir d’aujourd’hui la présidence mensuelle de cet organe.
La question de la confidentialité des discussions au sein du Conseil de sécurité a animé la séance que la présidence malaisienne avait organisée pour dresser le bilan du mois d’août.
L’Envoyé spécial du Secrétaire général pour le Yémen, M. Ismail Ould Cheikh Ahmed, a dressé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, un tableau très sombre de la situation dans ce pays, marquée par une grave crise humanitaire et une « escalade dangereuse » des activités militaires depuis l’échec des pourparlers de paix qui se tenaient au Koweït.
Le Conseil de sécurité a, ce matin, prorogé jusqu’au 31 août 2017 le mandat actuel de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), sans en modifier le mandat.
Le Représentant spécial du Secrétaire général pour la Guinée-Bissau, M. Modibo Touré, a appelé aujourd’hui, devant le Conseil de sécurité, les dirigeants politiques de ce pays à mettre un terme à la paralysie politique dans laquelle il est plongé depuis la suspension du processus parlementaire.
Il y a plus de 37 ans, le Conseil de sécurité a considéré que les implantations israéliennes dans les territoires occupés n’avaient aucune valeur juridique et représentaient un obstacle à la conclusion d’une paix globale, juste et durable au Moyen-Orient. Ce qui était vrai en 1979 l’est tout autant aujourd’hui, et d’une préoccupation bien plus urgente, a déclaré ce matin devant le Conseil le Coordonnateur spécial pour le processus de paix au Moyen-Orient et Représentant personnel du Secrétaire général, M. Nickolay Mladenov.