Seize ans après le déploiement initial de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO), force est de reconnaître que ce pays et la région des Grands Lacs continuent de se heurter à de nombreux défis, comme en témoigne la situation au Burundi, a déclaré aujourd’hui, lors d’un débat au Conseil de sécurité, le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Le 21 mars 2016, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1718 (2006) concernant la République populaire démocratique de Corée a décidé que les quatre navires dont les noms suivent, visés à l’annexe III de la résolution 2270 (2016) en application du paragraphe 23 de la même résolution, ne sont pas contrôlés ou exploités par la société « Ocean Maritime Managment (OMM) et qu’ils ne font donc pas l’objet du gel des avoirs imposé à l’alinéa d) du paragraphe 8 de la résolution 1718 (2006):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mars, M. Ismael Abraão Gaspar Martins (Angola):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mars, M. Ismael Abraão Gaspar Martins (Angola):
Le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, a déclaré, cet après-midi devant le Conseil de sécurité, que les dirigeants politiques burundais doivent faire montre de courage et de la confiance nécessaires afin de lancer un processus politique crédible et construire un avenir où la population du pays pourra de nouveau vivre dans la paix et jouir de ses droits fondamentaux.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mars, M. Ismael Abraão Gaspar Martins (Angola):
« Il n’y a pas d’alternative au retour, dès que possible, sur la voie de la stabilité institutionnelle et politique en Haïti », a mis en garde, cet après-midi, la Représentante spéciale du Secrétaire général pour ce pays, Mme Sandra Honoré.
Le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mars a lu aujourd’hui, au nom des membres du Conseil, une déclaration présidentielle dans laquelle ils demandent aux parties sud-soudanaises de faire avancer la mise en œuvre de l’Accord sur le règlement du conflit.
Le Représentant spécial du Secrétaire général au Libéria, M. Farid Zarif, a déclaré, ce matin devant le Conseil de sécurité, que la perspective du retrait de la Mission des Nations Unies au Libéria (MINUL), notamment le transfert des compétences sécuritaires au forces de sécurité nationale, au plus tard le 30 juin prochain, suscitait de nombreuses inquiétudes parmi la population locale.
Le Conseil de sécurité a entendu, ce matin, les représentants de la France, de l’Angola et du Sénégal faire un compte-rendu de la mission qu’ils ont conduite en Afrique de l’Ouest, du 3 au 9 mars 2016.